Le sujet toujours crucial des visas a été abordé dans l’établissement du bilan de la coopération universitaire entre la France et le Sénégal. En effet, celui-ci connaît une croissance remarquable. Selon les données de l’ambassade de France à Dakar, près de 17 000 étudiants sénégalais sont aujourd’hui inscrits dans des établissements d’enseignement supérieur en France. Ce chiffre place le Sénégal en tête des pays d’Afrique subsaharienne en matière de mobilité académique, et même, parmi les cinq premiers au niveau mondial.
Cette dynamique est d’autant plus impressionnante qu’elle s’inscrit dans une progression rapide : entre 2019 et 2024, le nombre d’étudiants sénégalais en France a augmenté de 62 %. C’est bien au-delà de la moyenne observée pour l’ensemble de l’Afrique subsaharienne (+40 %) et très largement supérieure à la tendance mondiale (+21 %). Ces données illustrent un réel engouement des jeunes Sénégalais pour les formations proposées en France, reconnues pour leur qualité et leur diversité.
Cette croissance témoigne également de la solidité des liens entre les deux pays, basée sur un socle historique, culturel et linguistique commun. L’usage du français en effet est un des premiers motifs pour les jeunes Sénégalais, d’aller étudier dans les universités hexagonales.
Les nombreux accords de coopération entre universités, les dispositifs de bourses, ainsi que la présence de Campus France à Dakar (comme celui de l’Institut français ou de grandes écoles), participent à renforcer cette attractivité.
Au-delà des chiffres, cette coopération universitaire représente un véritable levier de développement pour le Sénégal et la France. En favorisant la formation de jeunes talents dans des domaines variés, elle prépare une génération compétente, apte à relever les défis économiques, sociaux et environnementaux du continent et dans la Diaspora.
Elle incarne aussi une nouvelle forme de partenariat rénové entre la France et l’Afrique, centré sur le savoir, la jeunesse et l’avenir, conformément au souhait des nouvelles autorités et de l’Agenda national de Transformation, horizon 2050.
Cette dynamique est d’autant plus impressionnante qu’elle s’inscrit dans une progression rapide : entre 2019 et 2024, le nombre d’étudiants sénégalais en France a augmenté de 62 %. C’est bien au-delà de la moyenne observée pour l’ensemble de l’Afrique subsaharienne (+40 %) et très largement supérieure à la tendance mondiale (+21 %). Ces données illustrent un réel engouement des jeunes Sénégalais pour les formations proposées en France, reconnues pour leur qualité et leur diversité.
Cette croissance témoigne également de la solidité des liens entre les deux pays, basée sur un socle historique, culturel et linguistique commun. L’usage du français en effet est un des premiers motifs pour les jeunes Sénégalais, d’aller étudier dans les universités hexagonales.
Les nombreux accords de coopération entre universités, les dispositifs de bourses, ainsi que la présence de Campus France à Dakar (comme celui de l’Institut français ou de grandes écoles), participent à renforcer cette attractivité.
Au-delà des chiffres, cette coopération universitaire représente un véritable levier de développement pour le Sénégal et la France. En favorisant la formation de jeunes talents dans des domaines variés, elle prépare une génération compétente, apte à relever les défis économiques, sociaux et environnementaux du continent et dans la Diaspora.
Elle incarne aussi une nouvelle forme de partenariat rénové entre la France et l’Afrique, centré sur le savoir, la jeunesse et l’avenir, conformément au souhait des nouvelles autorités et de l’Agenda national de Transformation, horizon 2050.
