Ces derniers mois, Samuel Eto’o a été un soutien indéfectible de ses jeunes frères pour les distinctions personnelles mondiales. Il n’a cessé de mettre en avant Sadio Mané et Mohamed Salah lors du trophée The Best de la FIFA et du Ballon d’or France Football. Mais, selon nos confrères de Afrique Sports, personne ne connait sa motivation.
A l’orée de la cérémonie du Ballon d’or 2019 France Football, l’ex capitaine des Lions Indomptables est également passé à la vitesse supérieure. Il a tenté le tout pour le tout pour que Sadio Mané puisse gagner. Mais, à la fin le trophée doré échappe à tout le continent au profit de Lionel Messi.
Samuel Eto’o est-il obligé de faire cela ? Pourquoi le fait-il. L’ancien joueur du FC Barcelone répond.
« Les joueurs africains ne sont pas respectés, en premier par leurs propres frères. Ce n’est pas croyable que ces jeunes n’aient pas notre appui. Si nous ne nous apprécions pas, les autres ne le feront pas à notre place. Mon objectif, c’est accompagner ces jeunes autant que je peux, les défendre, les protéger. Parce qu’un jour viendra, ils devront aussi passer le flambeau. C’est ce que nous (Africains) n’avons pas compris à tous les niveaux. Et c’est pourquoi nous sommes toujours derrière », a-t-il déclaré dans les colonnes de Afrique Sports
A l’orée de la cérémonie du Ballon d’or 2019 France Football, l’ex capitaine des Lions Indomptables est également passé à la vitesse supérieure. Il a tenté le tout pour le tout pour que Sadio Mané puisse gagner. Mais, à la fin le trophée doré échappe à tout le continent au profit de Lionel Messi.
Samuel Eto’o est-il obligé de faire cela ? Pourquoi le fait-il. L’ancien joueur du FC Barcelone répond.
« Les joueurs africains ne sont pas respectés, en premier par leurs propres frères. Ce n’est pas croyable que ces jeunes n’aient pas notre appui. Si nous ne nous apprécions pas, les autres ne le feront pas à notre place. Mon objectif, c’est accompagner ces jeunes autant que je peux, les défendre, les protéger. Parce qu’un jour viendra, ils devront aussi passer le flambeau. C’est ce que nous (Africains) n’avons pas compris à tous les niveaux. Et c’est pourquoi nous sommes toujours derrière », a-t-il déclaré dans les colonnes de Afrique Sports