Selon lequotidien.sn, de nombreuses jeunes filles de la région de Kolda sont contraintes d’abandonner l’école à cause de mariages forcés, de grossesses précoces et de violences domestiques. « Beaucoup de filles se marient alors qu’elles sont encore au CM2, en 6e ou en 5e », a déploré Yoba Baldé, député à l’Assemblée nationale et membre de la Commission éducation du Parlement panafricain, lors d’un panel sur l’éducation des filles.
Il a dénoncé une pratique encore ancrée dans certaines communautés peules où des fillettes de 9 à 12 ans sont promises en mariage dès leur naissance, selon des coutumes qu’il juge « dangereuses et rétrogrades ». Pour le parlementaire, ces unions précoces « empêchent les jeunes filles de poursuivre leurs études et aggravent leur vulnérabilité économique et sociale ».
Toujours d’après lequotidien.sn, Yoba Baldé a insisté sur la responsabilité des parlementaires pour faire évoluer la législation et protéger les jeunes filles. « Nous devons proposer des lois et mobiliser la société civile, les chefs de quartier et les parents afin de mettre fin à ce fléau », a-t-il déclaré.
Le député a salué le rôle croissant des femmes dans le développement du pays et appelé à renforcer la sensibilisation pour permettre à toutes les filles de terminer leurs études. « Ce que les hommes peuvent faire, les femmes peuvent aussi le faire », a-t-il rappelé, concluant sur un appel à l’action collective pour protéger l’avenir des jeunes filles.
Il a dénoncé une pratique encore ancrée dans certaines communautés peules où des fillettes de 9 à 12 ans sont promises en mariage dès leur naissance, selon des coutumes qu’il juge « dangereuses et rétrogrades ». Pour le parlementaire, ces unions précoces « empêchent les jeunes filles de poursuivre leurs études et aggravent leur vulnérabilité économique et sociale ».
Toujours d’après lequotidien.sn, Yoba Baldé a insisté sur la responsabilité des parlementaires pour faire évoluer la législation et protéger les jeunes filles. « Nous devons proposer des lois et mobiliser la société civile, les chefs de quartier et les parents afin de mettre fin à ce fléau », a-t-il déclaré.
Le député a salué le rôle croissant des femmes dans le développement du pays et appelé à renforcer la sensibilisation pour permettre à toutes les filles de terminer leurs études. « Ce que les hommes peuvent faire, les femmes peuvent aussi le faire », a-t-il rappelé, concluant sur un appel à l’action collective pour protéger l’avenir des jeunes filles.