«Je suis complètement d’accord avec la fermeture de cet hôpital. C’est le redéploiement qui n’a pas été très bien réfléchi. Maintenant, les femmes profitent de nos consultations pour se faire dépister.
En trois jours, on a enregistré beaucoup de tumeurs. C’est un problème. L’appareil de radiothérapie qui date de 2017 est toujours fonctionnel et prend beaucoup de malades en charge. Nous, de la Ligue, avons aménagé des espaces.
Nous avons construit une salle de chimiothérapie d’une capacité de 70 malades par jour. Ils ont fermé l’hôpital sans aménager la zone de redéploiement. C’est un problème. L’acte de chimiothérapie à Le Dantec était gratuit alors qu’à l’hôpital Dalal Jamm, il faut payer un forfait de 25 000 francs.
Les interventions chirurgicales coûtaient moins cher à Le Dantec. Là où cet hôpital réclamait 178 000 francs, C’est entre 350 000 et 400 000 francs qu’il faut casquer à Dalal Jamm», s’est indignée Dr Fatma Guenoune qui milite pour la valorisation et l’épanouissement de la femme contre le cancer, cette maladie ravageuse.
Avec Le Témoin
En trois jours, on a enregistré beaucoup de tumeurs. C’est un problème. L’appareil de radiothérapie qui date de 2017 est toujours fonctionnel et prend beaucoup de malades en charge. Nous, de la Ligue, avons aménagé des espaces.
Nous avons construit une salle de chimiothérapie d’une capacité de 70 malades par jour. Ils ont fermé l’hôpital sans aménager la zone de redéploiement. C’est un problème. L’acte de chimiothérapie à Le Dantec était gratuit alors qu’à l’hôpital Dalal Jamm, il faut payer un forfait de 25 000 francs.
Les interventions chirurgicales coûtaient moins cher à Le Dantec. Là où cet hôpital réclamait 178 000 francs, C’est entre 350 000 et 400 000 francs qu’il faut casquer à Dalal Jamm», s’est indignée Dr Fatma Guenoune qui milite pour la valorisation et l’épanouissement de la femme contre le cancer, cette maladie ravageuse.
Avec Le Témoin








