Toutefois, selon le conseiller juridique de l’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie), la prise et la diffusions de ces données personnelles sont régies par la loi.
« D’abord il faut faire une demande avant d’installer des vidéos dans son service ou officine. Ensuite, il faut avertir le public de manière visible, de l’existence de vidéo-surveillance sur les lieux », informe Mouhamed Lô sur la RFM.
Qui ajoute, « il faut garder ces données pendant une durée d’un mois avant de pouvoir les publier. Même la police doit faire une réquisition, avant de pouvoir consulter ces images ».
Et de conclure, « les diffuseurs de ces données personnelles, de même que les sites qui les reprennent, encourent la même peine ».
« D’abord il faut faire une demande avant d’installer des vidéos dans son service ou officine. Ensuite, il faut avertir le public de manière visible, de l’existence de vidéo-surveillance sur les lieux », informe Mouhamed Lô sur la RFM.
Qui ajoute, « il faut garder ces données pendant une durée d’un mois avant de pouvoir les publier. Même la police doit faire une réquisition, avant de pouvoir consulter ces images ».
Et de conclure, « les diffuseurs de ces données personnelles, de même que les sites qui les reprennent, encourent la même peine ».