Selon iGFM.sn, les avocats de Farba Ngom ont déposé deux plaintes : l’une auprès du procureur de la République contre le journaliste Salif Ka et le directeur de publication de Walf Quotidien, Seyni Diop ; l’autre auprès de la Division spéciale de la cybersécurité (DSC) contre Meïssa Babou.
Dans son édition du 13 octobre, Walf Quotidien affirmait que l’élu détenu possédait, via deux sociétés, plus de 250 parcelles et 29 titres fonciers. Des allégations qualifiées de mensongères par l’intéressé, qui estime que ces publications ont gravement porté atteinte à sa réputation.
L’économiste Meïssa Babou est, lui, poursuivi pour avoir déclaré que « certains ont choisi la magouille et les détournements ». Farba Ngom a également introduit une requête pour obtenir la mainlevée de son mandat de dépôt.
Toujours selon iGFM.sn, cette double procédure marque une contre-offensive judiciaire inédite pour laver son honneur.
Dans son édition du 13 octobre, Walf Quotidien affirmait que l’élu détenu possédait, via deux sociétés, plus de 250 parcelles et 29 titres fonciers. Des allégations qualifiées de mensongères par l’intéressé, qui estime que ces publications ont gravement porté atteinte à sa réputation.
L’économiste Meïssa Babou est, lui, poursuivi pour avoir déclaré que « certains ont choisi la magouille et les détournements ». Farba Ngom a également introduit une requête pour obtenir la mainlevée de son mandat de dépôt.
Toujours selon iGFM.sn, cette double procédure marque une contre-offensive judiciaire inédite pour laver son honneur.