« Les mêmes méthodes qui ont marché ailleurs, basées sur la bonne gouvernance et le retour à l’identité culturelle propre à chaque peuple, peuvent également inspirer l’Afrique dans sa quête d’un développement autonome », a-t-il déclaré. Il a appelé à concevoir un modèle endogène, « à l’image de ce qu’ont réussi les pays occidentaux et asiatiques », tout en tenant compte des « trajectoires historiques différentes ».
Selon lui, ce modèle devrait reposer sur « la gestion rigoureuse des finances publiques, l’exploitation transparente et efficiente des ressources naturelles, ainsi qu’une discipline budgétaire stricte ». Le Premier ministre a également plaidé pour un « train de vie de l’État aligné sur les capacités économiques réelles des pays africains » et pour la promotion de l’investissement direct étranger, en lieu et place d’une « dépendance excessive à une certaine dette extérieure ». « Nous avons un cadre incitatif, venez investir avec nous dans une logique de partenariat gagnant-gagnant », a-t-il lancé aux investisseurs.
D'après "Seneweb", Ousmane Sonko a dénoncé les « déséquilibres » dans les relations internationales, pointant une asymétrie entre « la libre circulation des ressources naturelles africaines et les restrictions sur la circulation des personnes ». Il a également relevé les défis internes de l’Afrique, estimant que les Africains ne peuvent se dédouaner de leur responsabilité dans le bradage des ressources naturelles du continent. Il a insisté sur la nécessité d’un « courage politique réel dans les prises de décisions stratégiques », souvent impopulaires, mais cruciales pour un développement à long terme.
Par ailleurs, il a exprimé son inquiétude quant à « l’usage dévoyé » de la connectivité en Afrique. « La connectivité est souvent détournée vers des discours de haine et de division, au détriment d’un engagement constructif pour le progrès commun », a-t-il déploré.
Selon lui, ce modèle devrait reposer sur « la gestion rigoureuse des finances publiques, l’exploitation transparente et efficiente des ressources naturelles, ainsi qu’une discipline budgétaire stricte ». Le Premier ministre a également plaidé pour un « train de vie de l’État aligné sur les capacités économiques réelles des pays africains » et pour la promotion de l’investissement direct étranger, en lieu et place d’une « dépendance excessive à une certaine dette extérieure ». « Nous avons un cadre incitatif, venez investir avec nous dans une logique de partenariat gagnant-gagnant », a-t-il lancé aux investisseurs.
D'après "Seneweb", Ousmane Sonko a dénoncé les « déséquilibres » dans les relations internationales, pointant une asymétrie entre « la libre circulation des ressources naturelles africaines et les restrictions sur la circulation des personnes ». Il a également relevé les défis internes de l’Afrique, estimant que les Africains ne peuvent se dédouaner de leur responsabilité dans le bradage des ressources naturelles du continent. Il a insisté sur la nécessité d’un « courage politique réel dans les prises de décisions stratégiques », souvent impopulaires, mais cruciales pour un développement à long terme.
Par ailleurs, il a exprimé son inquiétude quant à « l’usage dévoyé » de la connectivité en Afrique. « La connectivité est souvent détournée vers des discours de haine et de division, au détriment d’un engagement constructif pour le progrès commun », a-t-il déploré.