Selon Youssou Diallo, le FMI et la BCEAO ne peuvent se dédouaner de toute responsabilité dans la gestion de la dette non déclarée. Il estime que la transparence exige la publication intégrale des rapports de l’Inspection générale des finances, de la Cour des comptes, du cabinet Forvis Mazars ainsi que des institutions financières internationales.
« La parole de la Directrice générale du FMI, même importante, n’est pas parole d’Évangile », martèle-t-il, invitant aussi les anciens responsables gouvernementaux à rendre compte de leur gestion.
Le président du Club Sénégal Émergent demande que lumière soit faite sur les montants, les créanciers et les bénéficiaires de cette dette, pour « sauvegarder l’intérêt du peuple sénégalais ».
« La parole de la Directrice générale du FMI, même importante, n’est pas parole d’Évangile », martèle-t-il, invitant aussi les anciens responsables gouvernementaux à rendre compte de leur gestion.
Le président du Club Sénégal Émergent demande que lumière soit faite sur les montants, les créanciers et les bénéficiaires de cette dette, pour « sauvegarder l’intérêt du peuple sénégalais ».