Le Directeur de l'Ecole doctorale Sciences juridiques, Politiques, Economiques et de Gestion (ED-JPEG) de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) réagit suite à la condamnation de l'ex-président de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF) à 4 ans dont 2 ans ferme par la 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Lamine Diack est reconnu coupable des faits de corruption passive et active, blanchiment de capitaux. Selon Pr Sakh, " il faudrait que Lamine Diack sorte blanchi".
« Quand un verdict tombe et que vous étiez dans une procédure judiciaire, quelle que soit la décision du juge, dans une certaine mesure vous êtes libérés. Vous savez maintenant à quoi vous en tenir et sur ce plan là, il faut s’en féliciter », a déclaré Pr Sakho sur la Rfm.
Il a poursuivi : « Maintenant que M. Diack sait à quoi s’en tenir, il lui appartient à lui et à ses avocats de continuer à mener le combat. Personnellement, je suis quelqu’un qui respecte beaucoup la justice. C’est une décision de justice qui vient de tomber, j’appartiens à l’opinion qui généralement ne réagit pas à chaud, quand il s’agit de décision de justice. Mais, là c’est quelque chose qui concerne notre pays ».
Pr Sakho de rappeler la position qu’il a toujours eu dans cette affaire. « Je le dis et je l’ai toujours dit, je ne suis pas d’accord aussi bien sur la forme c’est-à-dire la compétence de la juridiction française que sur le fond : de le retenir dans les liens de la prévention ».
Maintenant, a-t-il conclu : « Il lui appartient de faire en sorte qu’il puisse continuer son combat et qu’il soit totalement blanchi. Un homme comme ça, avec tout ce qu’il a fait pour le sport, il faudrait qu’il sorte blanchi ».
« Quand un verdict tombe et que vous étiez dans une procédure judiciaire, quelle que soit la décision du juge, dans une certaine mesure vous êtes libérés. Vous savez maintenant à quoi vous en tenir et sur ce plan là, il faut s’en féliciter », a déclaré Pr Sakho sur la Rfm.
Il a poursuivi : « Maintenant que M. Diack sait à quoi s’en tenir, il lui appartient à lui et à ses avocats de continuer à mener le combat. Personnellement, je suis quelqu’un qui respecte beaucoup la justice. C’est une décision de justice qui vient de tomber, j’appartiens à l’opinion qui généralement ne réagit pas à chaud, quand il s’agit de décision de justice. Mais, là c’est quelque chose qui concerne notre pays ».
Pr Sakho de rappeler la position qu’il a toujours eu dans cette affaire. « Je le dis et je l’ai toujours dit, je ne suis pas d’accord aussi bien sur la forme c’est-à-dire la compétence de la juridiction française que sur le fond : de le retenir dans les liens de la prévention ».
Maintenant, a-t-il conclu : « Il lui appartient de faire en sorte qu’il puisse continuer son combat et qu’il soit totalement blanchi. Un homme comme ça, avec tout ce qu’il a fait pour le sport, il faudrait qu’il sorte blanchi ».