Nuyu naa la !
Chers compatriotes je partage avec vous des réponses (02) reçues du gouvernement du premier ministre Ousmane Sonko à deux de mes questions écrites. J'ai aussi demandé au gouvernement : Quelles ruptures dans la gestion des récépissés de déclaration d'Importation de Produits Alimentaires (DIPA) ?
🔹Le 21 juillet 2025 j'avais interpellé le gouvernement du Sénégal à propos de la mobilisation problématique du budget alloué au déminage humanitaire en Casamance. Tellement problématique que le personnel connaît des retards de salaire, et le programme une suspension de la connexion Internet, une accumulation de factures d'eau et d'électricité impayées, des missions de supervision sur le terrain non effectuées.
Le ministère de l'intégration africaine, des affaires étrangères et des sénégalais de l'extérieur m'informe da's sa réponse que le centre d'action antimines du Sénégal (CNAMS) a bénéficié en 2025 d'un budget de 465.000.000 FCFA soit une augmentation de 165.000.000 FCFA par rapport à la subvention qu'il recevait chaque année.
Le ministère ajoute que des anomalies ont été notées concernant le Projet d'assistance à la lutte antimine en Casamance (PALAC). Le document initial avait fixé au projet ainsi qu'aux contrats des travailleurs un terme de deux ans (2007-2009). Selon le ministère, il y a une absence de décision administrative autorisant la prolongation du projet ce qui conduit l'absence de base légale pour le paiement des salaires. Ce qui bloque le fonctionnement du CNAMS/PALAC.
Le ministère dit travailler sur une réforme et une régularisation du CNAMS/PALAC.
Je vais me rapprocher des travailleurs et demander au ministère de l'intégration africaine, des affaires étrangères et des sénégalais de l'extérieur de faire preuve d'une plus grande célérité dans le règlement des anomalies qu'ils ont notées et qui ne sont pas de la responsabilité des travailleurs.
🔹Le ministère de l'intégration africaine, des affaires étrangères et des Sénégalais de l'extérieur, sur les difficultés des usagers utilisant le serveur 206010 du Bureau État Civil (BEC) dans sa réponse a informé des mesures prises pour mettre un terme à ces problèmes.
🔹J'ai adressé des questions écrites au gouvernement du premier ministre Ousmane Sonko. Parmi celles-ci, j'ai demandé au ministre de l'industrie et du commerce : Quelles ruptures dans la gestion des récépissés de déclaration d'Importation de Produits Alimentaires (DIPA) ?
Monsieur le ministre, les DIPA avant avril 2024 faisaient l'objet de tous les abus, toutes les opacités, tous les antidémocratismes. 19 mois après quelles ruptures avez-vous insufflée dans leur gestion ? Monsieur le ministre, avant avril 2024, 50% des DIPA - pour ce qui concerne le sucre par exemple - étaient données aux commerçants, 25% à la Compagnie sucrière sénégalaise et 25% comme stocks de sécurité qui servaient plus à du clientélisme. Avez-vous fait depuis votre arrivée un audit de ces DIPA ? Quels résultats cet audit a-t-il donné?
Monsieur le ministre, certains disent que des DIPA sont revendus à 20.000 FCFA ou 25.000 FCFA la tonne de sucre par exemple. En avez-vous été informé?
Monsieur le ministre, quelles quantités de DIPA par aliment avez-vous octroyée et sur la base de quels critères et processus choisissez-vous les bénéficiaires ? Est-il arrivé depuis votre arrivée que le nombre de DIPA soit supérieur aux quantités d'aliments à importer ? Monsieur le ministre Y-a-t-il un Comité chargé de la délivrance des récépissés de DIPA ou c'est juste une personne qui détermine les bénéficiaires et les délivre ? Monsieur le ministre, des non commerçants ont-ils bénéficié de DIPA ?
Vos critiques et suggestions sont les bienvenues. Aidez-nous à vous servir en nous écrivant au guymarius.sagna@assemblee.sn ou au 774313174.
GMS,
Chers compatriotes je partage avec vous des réponses (02) reçues du gouvernement du premier ministre Ousmane Sonko à deux de mes questions écrites. J'ai aussi demandé au gouvernement : Quelles ruptures dans la gestion des récépissés de déclaration d'Importation de Produits Alimentaires (DIPA) ?
🔹Le 21 juillet 2025 j'avais interpellé le gouvernement du Sénégal à propos de la mobilisation problématique du budget alloué au déminage humanitaire en Casamance. Tellement problématique que le personnel connaît des retards de salaire, et le programme une suspension de la connexion Internet, une accumulation de factures d'eau et d'électricité impayées, des missions de supervision sur le terrain non effectuées.
Le ministère de l'intégration africaine, des affaires étrangères et des sénégalais de l'extérieur m'informe da's sa réponse que le centre d'action antimines du Sénégal (CNAMS) a bénéficié en 2025 d'un budget de 465.000.000 FCFA soit une augmentation de 165.000.000 FCFA par rapport à la subvention qu'il recevait chaque année.
Le ministère ajoute que des anomalies ont été notées concernant le Projet d'assistance à la lutte antimine en Casamance (PALAC). Le document initial avait fixé au projet ainsi qu'aux contrats des travailleurs un terme de deux ans (2007-2009). Selon le ministère, il y a une absence de décision administrative autorisant la prolongation du projet ce qui conduit l'absence de base légale pour le paiement des salaires. Ce qui bloque le fonctionnement du CNAMS/PALAC.
Le ministère dit travailler sur une réforme et une régularisation du CNAMS/PALAC.
Je vais me rapprocher des travailleurs et demander au ministère de l'intégration africaine, des affaires étrangères et des sénégalais de l'extérieur de faire preuve d'une plus grande célérité dans le règlement des anomalies qu'ils ont notées et qui ne sont pas de la responsabilité des travailleurs.
🔹Le ministère de l'intégration africaine, des affaires étrangères et des Sénégalais de l'extérieur, sur les difficultés des usagers utilisant le serveur 206010 du Bureau État Civil (BEC) dans sa réponse a informé des mesures prises pour mettre un terme à ces problèmes.
🔹J'ai adressé des questions écrites au gouvernement du premier ministre Ousmane Sonko. Parmi celles-ci, j'ai demandé au ministre de l'industrie et du commerce : Quelles ruptures dans la gestion des récépissés de déclaration d'Importation de Produits Alimentaires (DIPA) ?
Monsieur le ministre, les DIPA avant avril 2024 faisaient l'objet de tous les abus, toutes les opacités, tous les antidémocratismes. 19 mois après quelles ruptures avez-vous insufflée dans leur gestion ? Monsieur le ministre, avant avril 2024, 50% des DIPA - pour ce qui concerne le sucre par exemple - étaient données aux commerçants, 25% à la Compagnie sucrière sénégalaise et 25% comme stocks de sécurité qui servaient plus à du clientélisme. Avez-vous fait depuis votre arrivée un audit de ces DIPA ? Quels résultats cet audit a-t-il donné?
Monsieur le ministre, certains disent que des DIPA sont revendus à 20.000 FCFA ou 25.000 FCFA la tonne de sucre par exemple. En avez-vous été informé?
Monsieur le ministre, quelles quantités de DIPA par aliment avez-vous octroyée et sur la base de quels critères et processus choisissez-vous les bénéficiaires ? Est-il arrivé depuis votre arrivée que le nombre de DIPA soit supérieur aux quantités d'aliments à importer ? Monsieur le ministre Y-a-t-il un Comité chargé de la délivrance des récépissés de DIPA ou c'est juste une personne qui détermine les bénéficiaires et les délivre ? Monsieur le ministre, des non commerçants ont-ils bénéficié de DIPA ?
Vos critiques et suggestions sont les bienvenues. Aidez-nous à vous servir en nous écrivant au guymarius.sagna@assemblee.sn ou au 774313174.
GMS,
