Sillonner le Sénégal et préparer la résistance. Tel est le mot d’ordre principal sorti hier du lancement de la coalition citoyenne dénommée «Le Peuple ». Composée entre autres personnalités de l’espace public de Clédor Sène du mouvement Clair-Vision, l’activiste Abdou Karim Gueye du mouvement « Nittu Deugg » ainsi que du syndicaliste Dame Mbodji mais aussi de l’ « insulteur » Assane Diouf, l’organisation promet de faire face au pouvoir en place qu’elle
accuse de vouloir liquider l’opposant Ousmane Sonko dans le cadre de l’affaire de viol dont il est accusé.
« Il est temps qu’on arrête de tourner autour du sujet. Les choses doivent être dites sans port de gant ni avoir peur d’être emprisonné pour insurrection. Tout ce qui nous reste à l’heure actuelle, c’est le combat. L’affrontement avec ce pouvoir est devenu inévitable. Le droit à la résistance nous a été consacrée par la constitution », assène Clédor Sène.
Selon cet activiste impliqué dans l’assassinat du défunt vice-président du Conseil constitutionnel, Me Babacar Sèye, il n’est pas concevable que des militants du parti Pastef soient jetés en prison pour « insurrection » au moment où des « pyromanes » ethnicistes à l’image du député APR Aliou Dembourou Sow sont épargnés par la justice.
« Avant Sonko, le pouvoir a posé les mêmes actes contre Khalifa Sall en levant son immunité parlementaire illégalement avant de le jeter en prison. Cette fois-ci, nous n’accepterons pas que la démocratie et nos libertés
soient agressées par une justice partisane », menace -t-il.
accuse de vouloir liquider l’opposant Ousmane Sonko dans le cadre de l’affaire de viol dont il est accusé.
« Il est temps qu’on arrête de tourner autour du sujet. Les choses doivent être dites sans port de gant ni avoir peur d’être emprisonné pour insurrection. Tout ce qui nous reste à l’heure actuelle, c’est le combat. L’affrontement avec ce pouvoir est devenu inévitable. Le droit à la résistance nous a été consacrée par la constitution », assène Clédor Sène.
Selon cet activiste impliqué dans l’assassinat du défunt vice-président du Conseil constitutionnel, Me Babacar Sèye, il n’est pas concevable que des militants du parti Pastef soient jetés en prison pour « insurrection » au moment où des « pyromanes » ethnicistes à l’image du député APR Aliou Dembourou Sow sont épargnés par la justice.
« Avant Sonko, le pouvoir a posé les mêmes actes contre Khalifa Sall en levant son immunité parlementaire illégalement avant de le jeter en prison. Cette fois-ci, nous n’accepterons pas que la démocratie et nos libertés
soient agressées par une justice partisane », menace -t-il.