Ils dénoncent également des rendements inférieurs à 2 tonnes par hectare, loin des performances observées dans le nord du pays. Les producteurs affirment devoir s’endetter à hauteur de 300 000 à 400 000 F CFA par parcelle, avec des difficultés croissantes pour rembourser les banques, accentuées par la montée en puissance de privés imposant leurs tarifs.
Le collectif formule plusieurs exigences : réduire le coût de récolte à 65 000–70 000 F CFA, réhabiliter les infrastructures agricoles, et rétablir la présence active de la SODAGRI sur le terrain. Il appelle le président Bassirou Diomaye Faye à agir avant que la filière locale ne s’effondre. “Nous ne demandons pas l’aumône, mais la justice”, concluent-ils.
Le collectif formule plusieurs exigences : réduire le coût de récolte à 65 000–70 000 F CFA, réhabiliter les infrastructures agricoles, et rétablir la présence active de la SODAGRI sur le terrain. Il appelle le président Bassirou Diomaye Faye à agir avant que la filière locale ne s’effondre. “Nous ne demandons pas l’aumône, mais la justice”, concluent-ils.






