À l’en croire, la priorité des priorités reste «la signature des décrets d’application liés à la loi d’orientation sociale promulguée en 2010». En effet, «sur 11 décrets attendus, seuls 2 sont signés à ce jour, dont celui portant sur la carte d’égalité des chances», a précisé pour le déplorer, le patron de la Fédération régionale des associations des personnes handicapées de Kolda (Fraph).
Il regrette les lenteurs constatées dans la délivrance de cette carte. Puisque, «sur plus de trois millions de personnes handicapées recensées dans le pays, moins de 70.000 personnes ont leur carte, dont 25.000 sont bénéficiaires de la bourse familiale qu’elles n’ont pas perçue depuis plus d’un an», a-t-il indiqué, avec amertume.
C’est pourquoi, M. Baldé croit dur comme fer que chef de l’État s’est trompé de priorité, en pensant à l’augmentation de cette bourse qui, dans son entendement, «n’est pas essentielle».
Ainsi, a-t-il invité avec insistance, le président de la République, à nommer dans un bref délai, «la haute autorité chargée de la promotion et de la protection des droits des personnes handicapées».
Mais aussi, à «signer les décrets portant sur la mise en place d’un fonds d’appui aux projets et programmes des personnes handicapées et sur la formation de ces personnes», entre autres, qui, dit-il, constituent les vraies priorités.
Il en a profité pour réitérer son plaidoyer en faveur de l’inscription de toutes personnes handicapées au Registre national unique.
Il regrette les lenteurs constatées dans la délivrance de cette carte. Puisque, «sur plus de trois millions de personnes handicapées recensées dans le pays, moins de 70.000 personnes ont leur carte, dont 25.000 sont bénéficiaires de la bourse familiale qu’elles n’ont pas perçue depuis plus d’un an», a-t-il indiqué, avec amertume.
C’est pourquoi, M. Baldé croit dur comme fer que chef de l’État s’est trompé de priorité, en pensant à l’augmentation de cette bourse qui, dans son entendement, «n’est pas essentielle».
Ainsi, a-t-il invité avec insistance, le président de la République, à nommer dans un bref délai, «la haute autorité chargée de la promotion et de la protection des droits des personnes handicapées».
Mais aussi, à «signer les décrets portant sur la mise en place d’un fonds d’appui aux projets et programmes des personnes handicapées et sur la formation de ces personnes», entre autres, qui, dit-il, constituent les vraies priorités.
Il en a profité pour réitérer son plaidoyer en faveur de l’inscription de toutes personnes handicapées au Registre national unique.