La Commission des Finances et du Contrôle budgétaire, élargie aux Commissions des Affaires économiques et de la Santé, a examiné et adopté ce jeudi 13 novembre le projet de budget 2026 du Ministère de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire, présenté par le ministre Alioune Dione.
Pour l’exercice 2026, les crédits de paiement du Ministère sont fixés à 7 727 939 613 F CFA, contre 15 255 677 737 F CFA en 2025. Cette réduction correspond à une baisse de 7 527 738 124 F CFA, soit 49,34 %.
Selon les documents officiels, cette contraction s’explique principalement par la fin du financement du PLASEPRI, arrivé au terme de sa phase en tant qu’unité de projet, en attendant la mise en place d’un mécanisme de pérennisation basé sur les ressources revolving.
La baisse découle également d’une omission administrative : les services du Ministère des Finances n’ont pas positionné le reliquat du prêt de la Banque islamique de développement (BID) dans le budget 2026. Ce montant, estimé à 3 796 945 397 F CFA, devrait pourtant être décaissé durant l’année, les obstacles ayant été levés.
L’adoption du budget ouvre la voie à la poursuite des politiques publiques en matière de microfinance, d’entrepreneuriat social et d’économie solidaire, malgré un contexte budgétaire contraint.
Pour l’exercice 2026, les crédits de paiement du Ministère sont fixés à 7 727 939 613 F CFA, contre 15 255 677 737 F CFA en 2025. Cette réduction correspond à une baisse de 7 527 738 124 F CFA, soit 49,34 %.
Selon les documents officiels, cette contraction s’explique principalement par la fin du financement du PLASEPRI, arrivé au terme de sa phase en tant qu’unité de projet, en attendant la mise en place d’un mécanisme de pérennisation basé sur les ressources revolving.
La baisse découle également d’une omission administrative : les services du Ministère des Finances n’ont pas positionné le reliquat du prêt de la Banque islamique de développement (BID) dans le budget 2026. Ce montant, estimé à 3 796 945 397 F CFA, devrait pourtant être décaissé durant l’année, les obstacles ayant été levés.
L’adoption du budget ouvre la voie à la poursuite des politiques publiques en matière de microfinance, d’entrepreneuriat social et d’économie solidaire, malgré un contexte budgétaire contraint.








