Le Sénégal vit au rythme d’une nouvelle tempête judiciaire. Le parquet financier, dirigé par El Hadj Alioune Abdoulaye Sylla, a initié plusieurs procédures, après l’exploitation des derniers rapports de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF).
Selon "Libération", relayé par "MSN Consulting", une information judiciaire a été confiée au juge du 3ᵉ cabinet financier contre Aliou Sall, ancien édile de Guédiawaye et frère de l’ex-président Macky Sall. Les enquêteurs soupçonnent des flux financiers suspects transitant par des sociétés écran et des transactions internationales.
Parallèlement, le juge du 1ᵉʳ cabinet financier instruit une affaire visant le chanteur Waly Seck et six autres personnes. Une opposition judiciaire a été notifiée à la Police de l’air et des frontières (PAF), leur interdisant toute sortie du territoire. Bien que le musicien se trouve encore à l’étranger, il est attendu à Dakar cette semaine.
Le rapport de la CENTIF, jugé « explosif », met en lumière des montants dépassant 125 milliards FCfa, des rétrocommissions et des circuits opaques liés à des structures telles que Sci Haba, Sofico ou encore, le Groupe Immobilier Suisse (GIS).
Les qualifications retenues portent notamment sur association de malfaiteurs, corruption et financement illicite.
Selon "Libération", relayé par "MSN Consulting", une information judiciaire a été confiée au juge du 3ᵉ cabinet financier contre Aliou Sall, ancien édile de Guédiawaye et frère de l’ex-président Macky Sall. Les enquêteurs soupçonnent des flux financiers suspects transitant par des sociétés écran et des transactions internationales.
Parallèlement, le juge du 1ᵉʳ cabinet financier instruit une affaire visant le chanteur Waly Seck et six autres personnes. Une opposition judiciaire a été notifiée à la Police de l’air et des frontières (PAF), leur interdisant toute sortie du territoire. Bien que le musicien se trouve encore à l’étranger, il est attendu à Dakar cette semaine.
Le rapport de la CENTIF, jugé « explosif », met en lumière des montants dépassant 125 milliards FCfa, des rétrocommissions et des circuits opaques liés à des structures telles que Sci Haba, Sofico ou encore, le Groupe Immobilier Suisse (GIS).
Les qualifications retenues portent notamment sur association de malfaiteurs, corruption et financement illicite.