Si le Mersin, qui tanguait fortement et semblait près de s’enfoncer dans l’océan, a pu retrouver son équilibre, c’est qu’il a été débarrassé d’une partie de son chargement. «C’est le bateau Touba Tawfekh qui a été mobilisé et à ce jour [hier, mercredi 3 décembre], 18 000 tonnes de carburant ont été évacuées, stabilisant nettement le navire», souligne le même expert.
Ce dernier informe que «les opérations se poursuivent» pour sécuriser définitivement le pétrolier et l’intégralité de son chargement. "L’Observateur" renseigne que celles-ci sont pilotées par la Haute autorité chargée de la coordination, de la sécurité maritime, de la sûreté maritime et de la protection de l’environnement marin (HASSMAR), en collaboration avec la Marine nationale, la Société africaine de raffinage, la Gendarmerie, le Port de Dakar, les Douanes, notamment.
L’incident qui menace le Mersin, a eu lieu jeudi soir, à 19 km au large de Dakar. Le navire aurait été atteint par des explosions externes. D’aucuns attribuent les détonations à des frappes de drones. Parallèlement aux opérations de sauvetage du bateau, une enquête est ouverte pour tirer cette affaire au clair.
Ce dernier informe que «les opérations se poursuivent» pour sécuriser définitivement le pétrolier et l’intégralité de son chargement. "L’Observateur" renseigne que celles-ci sont pilotées par la Haute autorité chargée de la coordination, de la sécurité maritime, de la sûreté maritime et de la protection de l’environnement marin (HASSMAR), en collaboration avec la Marine nationale, la Société africaine de raffinage, la Gendarmerie, le Port de Dakar, les Douanes, notamment.
L’incident qui menace le Mersin, a eu lieu jeudi soir, à 19 km au large de Dakar. Le navire aurait été atteint par des explosions externes. D’aucuns attribuent les détonations à des frappes de drones. Parallèlement aux opérations de sauvetage du bateau, une enquête est ouverte pour tirer cette affaire au clair.








