Le président du Collège des juges d’instruction financiers a rejeté la demande de mise en liberté provisoire introduite par les avocats de Farba Ngom, inculpé pour « escroquerie portant sur des deniers publics » et placé sous mandat de dépôt depuis le 27 février 2025.
Dans une ordonnance en date du 12 septembre, le magistrat rappelle que la libération n’est envisageable que sous certaines conditions, comme le remboursement des fonds détournés, le versement d’un cautionnement ou un rapport médical concluant à l’incompatibilité de l’état de santé avec la détention.
Or, selon les experts commis, l’état de santé de l’ancien député ne justifie pas une remise en liberté, mais nécessite un suivi médical renforcé. Le juge a donc confirmé son transfèrement au Pavillon spécial, estimant que la prise en charge hospitalière constitue la solution la plus appropriée à ce stade de la procédure.
Dans une ordonnance en date du 12 septembre, le magistrat rappelle que la libération n’est envisageable que sous certaines conditions, comme le remboursement des fonds détournés, le versement d’un cautionnement ou un rapport médical concluant à l’incompatibilité de l’état de santé avec la détention.
Or, selon les experts commis, l’état de santé de l’ancien député ne justifie pas une remise en liberté, mais nécessite un suivi médical renforcé. Le juge a donc confirmé son transfèrement au Pavillon spécial, estimant que la prise en charge hospitalière constitue la solution la plus appropriée à ce stade de la procédure.