L’absence du Premier ministre Ousmane Sonko lors du Conseil des ministres du mercredi 22 octobre n’est pas passée inaperçue. D’après les informations rapportées par Le Témoin journal, cette absence remarquée a suscité de vives spéculations dans les milieux politiques dakarois.
Certains observateurs ont évoqué un malaise au sommet de l’État, voire une brouille supposée entre le président Bassirou Diomaye Faye, récemment rentré d’un long périple, et son Premier ministre.
Mais selon des sources proches de la Primature, citées par Le Témoin, Ousmane Sonko serait alité depuis dimanche en raison d’un problème de santé.
Aucune communication officielle n’a toutefois été faite par la Primature ni par la Présidence, alimentant davantage les rumeurs. Cette absence survient alors que le gouvernement fait face à plusieurs chantiers sensibles, notamment la cybercriminalité et la protection de l’enfance en ligne.
Mme Tall, magistrate, a d’ailleurs rappelé lors du lancement de la plateforme E-ARONCY que la cyber-exploitation des enfants a augmenté de 40 % en 2024 selon la PLCC.
L’absence du Premier ministre, dans ce contexte, relance les débats sur la communication gouvernementale et la transparence institutionnelle.
🗞 Source : Le Témoin journal – édition du 23 octobre 2025.
Certains observateurs ont évoqué un malaise au sommet de l’État, voire une brouille supposée entre le président Bassirou Diomaye Faye, récemment rentré d’un long périple, et son Premier ministre.
Mais selon des sources proches de la Primature, citées par Le Témoin, Ousmane Sonko serait alité depuis dimanche en raison d’un problème de santé.
Aucune communication officielle n’a toutefois été faite par la Primature ni par la Présidence, alimentant davantage les rumeurs. Cette absence survient alors que le gouvernement fait face à plusieurs chantiers sensibles, notamment la cybercriminalité et la protection de l’enfance en ligne.
Mme Tall, magistrate, a d’ailleurs rappelé lors du lancement de la plateforme E-ARONCY que la cyber-exploitation des enfants a augmenté de 40 % en 2024 selon la PLCC.
L’absence du Premier ministre, dans ce contexte, relance les débats sur la communication gouvernementale et la transparence institutionnelle.
🗞 Source : Le Témoin journal – édition du 23 octobre 2025.







