D’après le document, dans certaines Ligues qui étaient en proie à quelques dissensions internes, les acteurs ont su prôner la pédagogie de l'exemple en décidant de taire leurs divergences au nom de l'unité autour du consensus et de ses candidats. Ce faisant, ils ont fini de confirmer la proposition du Collège des Présidents de Ligues approuvée par acclamations par l'AG fédérale du 12 juin 2021 et matérialisé par les 2 protocoles d'accord signés par les candidats sous l'impulsion de la commission ad hoc mise en place à cet effet.
Pendant 3 mandats successifs, Me Augustin a eu l'initiative personnelle de se porter candidat pour présider aux destinées de la FSF. Et, malgré le nombre et la qualité de la concurrence, la communauté du Football sénégalais l'a à chaque fois donné ou renouvelé sa confiance.
Aujourd'hui, c'est cette même communauté nationale du Football dans sa dimension la plus large ( clubs, groupements associés, groupes d'acteurs, Ligues, etc.) dans toute sa diversité qui a décidé non seulement, de proposer sa candidature (nonobstant l'annonce qu’il avait faite en 2017 et l'absence de déclaration de candidature de sa part) et de la porter par des résolutions écrites, signées et cachetées de l'ensemble des clubs et groupements parties prenantes représentant à tout le moins plus de 2/3 des membres affiliés.
« Ai-je la possibilité ou le choix de rejeter cette demande, tout aussi déterminée que pressante de continuer à cheminer encore un temps avec eux pour parachever notre œuvre collective ? Dans mon esprit de serviteur et membre à part entière de la famille du Football, la réponse est : non . Quelle que fut ma volonté personnelle, celle de mes mandants, acteurs et décideurs du Football, lui est tout aussi prépondérante que transcendante », a expliqué Me Senghor.
Ainsi, il précise que ces derniers ont décidé le fait qu’il doit se représenter. « Cette candidature, dont j'ai été investie par la base est légitime. Selon nos statuts en vigueur, article 34-3, les mandats des membres du comité exécutif sont renouvelables sans exception. Elle est aussi la preuve d'une représentativité indéniable au sein de l'association et ne saurait souffrir des déclarations crypto-personnelles, frisant l'ostracisme du genre " tout sauf... », a précisé Augustin Senghor.
Comme par le passé, indique-t-il, l'élection à la Présidence de la Fédération Sénégalaise de Football doit s’effectuer dans un esprit démocratique, empreint de sportivité et de fair-play pour que les acteurs du football fassent le bon choix.
Mais le plus important, insiste-t-il, sera de préserver l'esprit du consensus qui a prévalu, de s'en servir comme levier d'une démarche participative, inclusive et unitaire pour atteindre les objectifs du Football sénégalais ces 4 prochaines années.
Pendant 3 mandats successifs, Me Augustin a eu l'initiative personnelle de se porter candidat pour présider aux destinées de la FSF. Et, malgré le nombre et la qualité de la concurrence, la communauté du Football sénégalais l'a à chaque fois donné ou renouvelé sa confiance.
Aujourd'hui, c'est cette même communauté nationale du Football dans sa dimension la plus large ( clubs, groupements associés, groupes d'acteurs, Ligues, etc.) dans toute sa diversité qui a décidé non seulement, de proposer sa candidature (nonobstant l'annonce qu’il avait faite en 2017 et l'absence de déclaration de candidature de sa part) et de la porter par des résolutions écrites, signées et cachetées de l'ensemble des clubs et groupements parties prenantes représentant à tout le moins plus de 2/3 des membres affiliés.
« Ai-je la possibilité ou le choix de rejeter cette demande, tout aussi déterminée que pressante de continuer à cheminer encore un temps avec eux pour parachever notre œuvre collective ? Dans mon esprit de serviteur et membre à part entière de la famille du Football, la réponse est : non . Quelle que fut ma volonté personnelle, celle de mes mandants, acteurs et décideurs du Football, lui est tout aussi prépondérante que transcendante », a expliqué Me Senghor.
Ainsi, il précise que ces derniers ont décidé le fait qu’il doit se représenter. « Cette candidature, dont j'ai été investie par la base est légitime. Selon nos statuts en vigueur, article 34-3, les mandats des membres du comité exécutif sont renouvelables sans exception. Elle est aussi la preuve d'une représentativité indéniable au sein de l'association et ne saurait souffrir des déclarations crypto-personnelles, frisant l'ostracisme du genre " tout sauf... », a précisé Augustin Senghor.
Comme par le passé, indique-t-il, l'élection à la Présidence de la Fédération Sénégalaise de Football doit s’effectuer dans un esprit démocratique, empreint de sportivité et de fair-play pour que les acteurs du football fassent le bon choix.
Mais le plus important, insiste-t-il, sera de préserver l'esprit du consensus qui a prévalu, de s'en servir comme levier d'une démarche participative, inclusive et unitaire pour atteindre les objectifs du Football sénégalais ces 4 prochaines années.