
La filière mil et sorgho joue un rôle important dans l’économie sénégalaise. Elle participe à l’autosuffisance alimentaire voire la sécurité alimentaire. Elle génère également des emplois directs et indirects. De la production en passant par le battage à la transformation jusqu’à la commercialisation, elle emploie plus de 2000 emplois.
Le Président du cadre national de la filière mil-sorgho, Ibrahima Ndiaye explique à cet effet que «l’économie repose sur les filières mil-sorgho. Elle crée des emplois. Il y a des gens qui travaillent dans les champs pour récolter ce mil dans le battage du mil dans la transformation et dans la commercialisation mais aussi dans la sécurité alimentaire.
Une économie viable repose sur une souveraineté alimentaire. On cultivait pour vivre mais aujourd’hui dans beaucoup de zones affiliées à la filière, on a un problème de vente de l’excédent de production.
Des quantités importantes de production de mil et de sorgho sont commercialisées sous forme de contrat. Ce qui constitue un avantage pour les producteurs agricoles». Et de renchérir, «nous commercialisons 2000 à 3000 tonnes de mil et sorgho par an sous forme de contrat par le biais d’opérateurs de marché».
Le Président du cadre national de la filière mil sorgho soutient par ailleurs que la «non reconnaissance juridique de leurs fi lières constitue leur principale difficulté». «Nous ne recevons pas des appuis de l’état», a-t-il déploré
Sud quotidien
Le Président du cadre national de la filière mil-sorgho, Ibrahima Ndiaye explique à cet effet que «l’économie repose sur les filières mil-sorgho. Elle crée des emplois. Il y a des gens qui travaillent dans les champs pour récolter ce mil dans le battage du mil dans la transformation et dans la commercialisation mais aussi dans la sécurité alimentaire.
Une économie viable repose sur une souveraineté alimentaire. On cultivait pour vivre mais aujourd’hui dans beaucoup de zones affiliées à la filière, on a un problème de vente de l’excédent de production.
Des quantités importantes de production de mil et de sorgho sont commercialisées sous forme de contrat. Ce qui constitue un avantage pour les producteurs agricoles». Et de renchérir, «nous commercialisons 2000 à 3000 tonnes de mil et sorgho par an sous forme de contrat par le biais d’opérateurs de marché».
Le Président du cadre national de la filière mil sorgho soutient par ailleurs que la «non reconnaissance juridique de leurs fi lières constitue leur principale difficulté». «Nous ne recevons pas des appuis de l’état», a-t-il déploré
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