Le Tègne Thieyacine Dior Gallo Gana Fall avait mobilisé tous les Serer comme fantassins pour former l’avant-garde de son armée, ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait jamais fait.
La rencontre eut lieu à Nguèdj (Baol). Dès que les nouvelles recrues subirent le choc habituel de la cavalerie du Damel, elles prirent la fuite sans essayer de résister, entraînant l’armée du Tègne.
Ensuite à Dieulbèr (Guéoul), elles se défendirent un peu et finirent par s’enfuir comme la première fois.
Les notables refusèrent de reconnaître Lat Dior, invitèrent le Tègne à regrouper ses forces et firent établir un fort à Sambé (Mbayar).
Mais le Tègne, découragé, s’était retiré à Gourgourène (Ngoye), en attendant le résultat de la bataille.
Le Thialao Ndoup Koumba Diaring, le Bourou Ngoye Sagonio Ndella, le Lamassas Maïssa Fabara, le Tidiar Thié Yasin Koura et son frère Lat Fatim Koura, et enfin, presque tous les Kangam ou généraux du Tègne, se trouvaient dans le fort, y attendant l’ennemi.
Ils soutinrent la lutte de six heures du matin jusqu’à six heures du soir, mais leurs munitions s’épuisèrent et ils furent obligés de quitter le champ de bataille à la tombée de la nuit, au profit de l’obscurité.
Lors de cette bataille, mourut le brave Lamassas Maissa Tabara Marèm Babou Fall.
La rencontre eut lieu à Nguèdj (Baol). Dès que les nouvelles recrues subirent le choc habituel de la cavalerie du Damel, elles prirent la fuite sans essayer de résister, entraînant l’armée du Tègne.
Ensuite à Dieulbèr (Guéoul), elles se défendirent un peu et finirent par s’enfuir comme la première fois.
Les notables refusèrent de reconnaître Lat Dior, invitèrent le Tègne à regrouper ses forces et firent établir un fort à Sambé (Mbayar).
Mais le Tègne, découragé, s’était retiré à Gourgourène (Ngoye), en attendant le résultat de la bataille.
Le Thialao Ndoup Koumba Diaring, le Bourou Ngoye Sagonio Ndella, le Lamassas Maïssa Fabara, le Tidiar Thié Yasin Koura et son frère Lat Fatim Koura, et enfin, presque tous les Kangam ou généraux du Tègne, se trouvaient dans le fort, y attendant l’ennemi.
Ils soutinrent la lutte de six heures du matin jusqu’à six heures du soir, mais leurs munitions s’épuisèrent et ils furent obligés de quitter le champ de bataille à la tombée de la nuit, au profit de l’obscurité.
Lors de cette bataille, mourut le brave Lamassas Maissa Tabara Marèm Babou Fall.







