Les faits remontent au 4 avril dernier, lorsque Mouhamadou Touré, une connaissance du mis en cause, lui a transféré par inadvertance, ladite somme. L’argent était destiné à une femme portant également le nom Adama Fall. Après avoir constaté l’erreur, M. Touré a tenté en vain de récupérer les fonds.
Le chroniqueur, qui avait déjà dépensé la somme, était resté injoignable. Ce n’est que le 27 mai, après avoir été convoqué par la Division spéciale de la Cybersécurité (DSC), qu’il a procédé au remboursement, toujours via Wave.
À l’audience, l’intéressé a nié toute intention de vol, tout en reconnaissant avoir utilisé les fonds. Il a exprimé ses regrets et demandé pardon à M. Touré, qu’il a qualifié de « frère ». Le ministère public, représenté par une substitut du procureur, avait requis un mois ferme et une amende équivalente au montant détourné. Les avocats de la défense, Mes El Hadji Amadou Sall et Oumar Youm, avaient, pour leur part, plaidé la relaxe. Le tribunal a finalement retenu la culpabilité, tout en optant pour la clémence.
"Lesoleil.sn" rapporte également que la juridiction a ordonné la restitution du téléphone portable de l’accusé et réservé les intérêts civils, la partie plaignante n’ayant pas assisté à l’audience.
Le chroniqueur, qui avait déjà dépensé la somme, était resté injoignable. Ce n’est que le 27 mai, après avoir été convoqué par la Division spéciale de la Cybersécurité (DSC), qu’il a procédé au remboursement, toujours via Wave.
À l’audience, l’intéressé a nié toute intention de vol, tout en reconnaissant avoir utilisé les fonds. Il a exprimé ses regrets et demandé pardon à M. Touré, qu’il a qualifié de « frère ». Le ministère public, représenté par une substitut du procureur, avait requis un mois ferme et une amende équivalente au montant détourné. Les avocats de la défense, Mes El Hadji Amadou Sall et Oumar Youm, avaient, pour leur part, plaidé la relaxe. Le tribunal a finalement retenu la culpabilité, tout en optant pour la clémence.
"Lesoleil.sn" rapporte également que la juridiction a ordonné la restitution du téléphone portable de l’accusé et réservé les intérêts civils, la partie plaignante n’ayant pas assisté à l’audience.