Les Yenamarristes sont plus que jamais déterminer à affronter l’Etat du Sénégal. En effet après avoir qualifié le scrutin législatif de 30 juillet dernier « le plus chaotique du nouveau siècle » de par ces « manquements graves » notés dans l’organisation, « l’irrespect et l’arrogance des gouvernants », Thiate et Cie veulent traduire l’Etat du Sénégal auprès des instance juridique de la Cedeao pour avoir privés des milliers de citoyens du droit constitutionnel que représente le vote à cause de la non-délivrance des cartes d’électeurs a date échue et l’absence de plusieurs milliers d’électeurs régulièrement inscrits sur le fichier électoral. Ainsi, pour se faire un pool d’avocats s’est constitué pour « porter ce contentieux citoyen » selon le mouvement qui était en conférence de presse ce jeudi.
Pour faciliter ce combat, le mouvement y’en a marre et des organisations de défense de droits humains telles que la Raddho, Amnesty, Forum du justiciable, ont élaboré une pétition pour que les plaignant (partie civile) puissent se faire enrôler.
Selon Thiate, Y’en a marre va investir bientôt les rues et les places publiques comme il a toujours fait quand le besoin se fait sentir. Pour lui l’heure est grave et les sénégalais doivent prendre leur destin en main pour que pareil chose n’arrive pas avec l’élection présidentielle qui profile à l’horizon.
Ces jeunes ont également la tête du ministre de l’intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, qui « en lieu et place d’excuses publiques à présenter au peuple sénégalais, pour l’énorme préjudice qu’il a subit, l’autorité organisatrice a reçu des félicitation de la part du président de la République », regrettent-ils.
Cheikh Makhfou Diop Leral.net
Pour faciliter ce combat, le mouvement y’en a marre et des organisations de défense de droits humains telles que la Raddho, Amnesty, Forum du justiciable, ont élaboré une pétition pour que les plaignant (partie civile) puissent se faire enrôler.
Selon Thiate, Y’en a marre va investir bientôt les rues et les places publiques comme il a toujours fait quand le besoin se fait sentir. Pour lui l’heure est grave et les sénégalais doivent prendre leur destin en main pour que pareil chose n’arrive pas avec l’élection présidentielle qui profile à l’horizon.
Ces jeunes ont également la tête du ministre de l’intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, qui « en lieu et place d’excuses publiques à présenter au peuple sénégalais, pour l’énorme préjudice qu’il a subit, l’autorité organisatrice a reçu des félicitation de la part du président de la République », regrettent-ils.
Cheikh Makhfou Diop Leral.net