Lancés il y a trois ans avec un financement intégral de la Banque africaine de développement (BAD), ces travaux avaient initialement une durée prévisionnelle de huit mois. Mais à ce jour, le projet reste inachevé, exposant les riverains à des inondations récurrentes, avec à la clé, des dégâts matériels importants, et même, des pertes en vies humaines.
Selon les habitants, ce retard est imputable à un manque de volonté manifeste pour finaliser les travaux, malgré les alertes répétées. Deux ministres — Cheikh Tidiane Dièye, en charge de l’Environnement et de la Transition écologique, et Balla Moussa Fofana, ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement — ont été saisis du dossier, mais aucune action concrète n’a encore été engagée, déplorent-ils.
« Chaque hivernage est une angoisse. Le canal déborde, les maisons sont inondées et nous avons déjà perdu des vies. Ce n’est plus tenable », alerte un membre du collectif local, qui interpelle directement les autorités, en particulier le ministre Cheikh Tidiane Dièye, pour une intervention urgente.
La population de Nguinth, mobilisée, réclame une solution durable et rapide, afin d’éviter que l’hivernage 2025 ne soit à nouveau synonyme de drames.
Selon les habitants, ce retard est imputable à un manque de volonté manifeste pour finaliser les travaux, malgré les alertes répétées. Deux ministres — Cheikh Tidiane Dièye, en charge de l’Environnement et de la Transition écologique, et Balla Moussa Fofana, ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement — ont été saisis du dossier, mais aucune action concrète n’a encore été engagée, déplorent-ils.
« Chaque hivernage est une angoisse. Le canal déborde, les maisons sont inondées et nous avons déjà perdu des vies. Ce n’est plus tenable », alerte un membre du collectif local, qui interpelle directement les autorités, en particulier le ministre Cheikh Tidiane Dièye, pour une intervention urgente.
La population de Nguinth, mobilisée, réclame une solution durable et rapide, afin d’éviter que l’hivernage 2025 ne soit à nouveau synonyme de drames.