Dans un article du quotidien Source A, M. Dione est allé plus loin dans l’affaire dite des « 1000 milliards », en affirmant que le compte est pour l’ancien Président Macky Sall : « Il a été créé par décret, et plus de 600 milliards y ont été virés à la veille de la Présidentielle de 2024. Ce qu’il a fait, c’est de la haute trahison. »
De telles déclarations, d’une extrême gravité, ne sauraient rester sans suite.
Dans un État de droit, toute allégation de détournement de fonds publics doit être étayée par des preuves tangibles et faire l’objet d’une enquête rigoureuse.
ADHA demande à ce que que M. Sanou Dione apporte sans délai les éléments de preuve à l’appui de ses affirmations.
ADHA appelle également les autorités judiciaires et organes de contrôle à se saisir de cette affaire, dans l’intérêt de la transparence, de la justice et du respect du droit à l’information du peuple sénégalais.
La gravité de ces accusations, si elles sont avérées, relèveraient d’actes de détournement de deniers publics, d’abus de pouvoir et potentiellement de haute trahison.
Pour finir, ADHA encourage les lanceurs d’alerte et les journalistes d’investigation à poursuivre leur travail dans le respect des lois et de la déontologie ; rappelle que le droit à la vérité est un fondement de toute démocratie et que l’impunité ne saurait être tolérée.
Fait à Dakar, le 09 mai 2025
Le Bureau Exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)
De telles déclarations, d’une extrême gravité, ne sauraient rester sans suite.
Dans un État de droit, toute allégation de détournement de fonds publics doit être étayée par des preuves tangibles et faire l’objet d’une enquête rigoureuse.
ADHA demande à ce que que M. Sanou Dione apporte sans délai les éléments de preuve à l’appui de ses affirmations.
ADHA appelle également les autorités judiciaires et organes de contrôle à se saisir de cette affaire, dans l’intérêt de la transparence, de la justice et du respect du droit à l’information du peuple sénégalais.
La gravité de ces accusations, si elles sont avérées, relèveraient d’actes de détournement de deniers publics, d’abus de pouvoir et potentiellement de haute trahison.
Pour finir, ADHA encourage les lanceurs d’alerte et les journalistes d’investigation à poursuivre leur travail dans le respect des lois et de la déontologie ; rappelle que le droit à la vérité est un fondement de toute démocratie et que l’impunité ne saurait être tolérée.
Fait à Dakar, le 09 mai 2025
Le Bureau Exécutif de l’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA)
