D’après lesoleil.sn, le ministre Mabouba Diagne, présidant la cérémonie de la Journée mondiale de la rage le 28 septembre à Koumpentoum, a rappelé que la lutte contre cette zoonose reste une priorité nationale. En 2024, 83 cas suspects ont été recensés chez les chiens, bovins et caprins, dont 32 confirmés positifs, soit 74,41 %.
Entre janvier et août 2025, 41 nouveaux cas ont encore été signalés, tandis que 7.032 expositions humaines ont été notifiées depuis 2023, avec 12 cas confirmés de rage humaine.
Si l’abattage des chiens errants reste une mesure forte, le ministre reconnaît qu’il ne suffit pas à freiner leur prolifération. Il propose donc des solutions complémentaires : stérilisation, castration, lutte contre les dépôts sauvages et campagnes de sensibilisation.
Toujours selon lesoleil.sn, il a insisté sur une approche multisectorielle associant Santé, Justice, Environnement, Collectivités territoriales et Communication, rappelant que l’objectif d’éradication à l’horizon 2030 reste ambitieux mais réalisable avec une action concertée.
Entre janvier et août 2025, 41 nouveaux cas ont encore été signalés, tandis que 7.032 expositions humaines ont été notifiées depuis 2023, avec 12 cas confirmés de rage humaine.
Si l’abattage des chiens errants reste une mesure forte, le ministre reconnaît qu’il ne suffit pas à freiner leur prolifération. Il propose donc des solutions complémentaires : stérilisation, castration, lutte contre les dépôts sauvages et campagnes de sensibilisation.
Toujours selon lesoleil.sn, il a insisté sur une approche multisectorielle associant Santé, Justice, Environnement, Collectivités territoriales et Communication, rappelant que l’objectif d’éradication à l’horizon 2030 reste ambitieux mais réalisable avec une action concertée.