Les licences de pêche octroyées par la République Islamique de Mauritanie et la résolution définitive du problème de la brèche constituent les principales préoccupations des pêcheurs de la Langue de Barbarie dans la région de Saint-Louis.
Ces derniers dressent une situation plutôt catastrophique des conditions dans lesquelles ils sont depuis quelques semaines. Aujourd’hui, c’est même l’économie locale qui est menacée, à en croire le président du Groupe Téfess Gui de Saint-Louis, en l’occurrence Moussa Niang qui a fait part de leur frustration face aux promesses non tenues de la part des autorités mauritaniennes. Ce qui est à l’origine du retard noté dans la délivrance des licences de pêche. « Nous souhaiterions connaître les raisons de ce retard car depuis trois semaines, tous les camions frigorifiques sont stationnés au niveau du quai de pêche et toutes les pirogues sont immobilisées à quai. C’est vraiment une catastrophe car c’est la pêche qui fait bouger l’économie locale. Mais aujourd’hui, aucun pêcheur ne peut aller en mer faute, de licence », a-t-il regretté avant d’interpeller le Président de la République Bassirou Diomaye Faye et leur ministre de tutelle, Dr Fatou Diouf, pour qu’ils les édifient sur ce dossier des licences de pêche de la Mauritanie. « Les pêcheurs sont restés six mois sans travailler. La pêche étant le poumon économique de Saint-Louis, l’absence de licences de pêche constitue un véritable handicap pour toute la région voire tout le pays », a-t-il rappelé.
Ngagne Diéye, également membre de Téfess Gui est revenu sur la problématique de la brèche qui a causé des centaines de pertes en vies humaines et de nombreux dégâts matériels. « La brèche continue toujours de tuer les acteurs de la pêche. Rien qu’en l’espace de trois mois entre août et maintenant, 04 personnes ont péri au niveau de cette brèche », a-t-il fait savoir avant de demander plus de considération de la part de l’État à l’égard des pêcheurs.
SudQuotidien
Ces derniers dressent une situation plutôt catastrophique des conditions dans lesquelles ils sont depuis quelques semaines. Aujourd’hui, c’est même l’économie locale qui est menacée, à en croire le président du Groupe Téfess Gui de Saint-Louis, en l’occurrence Moussa Niang qui a fait part de leur frustration face aux promesses non tenues de la part des autorités mauritaniennes. Ce qui est à l’origine du retard noté dans la délivrance des licences de pêche. « Nous souhaiterions connaître les raisons de ce retard car depuis trois semaines, tous les camions frigorifiques sont stationnés au niveau du quai de pêche et toutes les pirogues sont immobilisées à quai. C’est vraiment une catastrophe car c’est la pêche qui fait bouger l’économie locale. Mais aujourd’hui, aucun pêcheur ne peut aller en mer faute, de licence », a-t-il regretté avant d’interpeller le Président de la République Bassirou Diomaye Faye et leur ministre de tutelle, Dr Fatou Diouf, pour qu’ils les édifient sur ce dossier des licences de pêche de la Mauritanie. « Les pêcheurs sont restés six mois sans travailler. La pêche étant le poumon économique de Saint-Louis, l’absence de licences de pêche constitue un véritable handicap pour toute la région voire tout le pays », a-t-il rappelé.
Ngagne Diéye, également membre de Téfess Gui est revenu sur la problématique de la brèche qui a causé des centaines de pertes en vies humaines et de nombreux dégâts matériels. « La brèche continue toujours de tuer les acteurs de la pêche. Rien qu’en l’espace de trois mois entre août et maintenant, 04 personnes ont péri au niveau de cette brèche », a-t-il fait savoir avant de demander plus de considération de la part de l’État à l’égard des pêcheurs.
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