
Pour le journal panafricain, Jeune-afrique, « comme tout leader d’un parti d’opposition, il y est allé pour chercher des soutiens et de l’aide logistique » indique Me El Hadji Amadou Sall, son ancien porte-parole. En effet, s’il s’est affiché, tout sourire, sur Facebook aux côtés de l’émir d’Al Fujaïrah, c’est à Dubaï que l’ancien Président a œuvré. Même s’il reste naturellement affecté par le sort de son fils, il reste, selon lui, que la « prison, c’est un apprentissage pour Karim ».