Le Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Alliance Pour la République (APR) a rendu publique, dimanche 7 septembre 2025, une déclaration critiquant sévèrement le réaménagement gouvernemental annoncé la veille. Selon le texte, les modifications intervenues au niveau du ministère de la Justice, de l’Intérieur et de l’architecture globale de l’équipe gouvernementale, constituent « l’approfondissement de l’instauration d’une dictature au Sénégal, assise sur le Parti-État ».
Pour l’APR, ce remaniement est un « contre-feu » visant à détourner l’attention des difficultés rencontrées par le gouvernement, qu’il s’agisse de ses relations avec le FMI, de la gestion des inondations, de la campagne agricole ou encore, de la politique de l’emploi.
Le parti juge que le gouvernement Sonko 2 « illustre la continuité d’une gouvernance tatillonne » et qu’il est marqué par « l’errance des nouvelles autorités depuis 17 mois, sur fond de règlement de comptes ». Dans sa lecture, aucune solution aux difficultés économiques et sociales des Sénégalais ne peut en découler.
Le texte dénonce également la « culture du ressentiment » et « le rêve d’une justice partisane », accusant le régime d’ignorer les préoccupations quotidiennes comme le chômage et la vie chère.
L’APR s’inquiète par ailleurs de ce qu’il qualifie de « kidnapping politique » de certains de ses responsables, notamment des maires de grandes agglomérations, poursuivis dans des dossiers de reddition des comptes, alors que « de nombreux scandales secouent la gouvernance des nouvelles autorités, l’Asergate et l’Onasgate, entre autres ».
Tout en exprimant sa confiance aux magistrats et aux acteurs du système électoral, l’APR appelle les forces vives de la nation à « se dresser » face à ce qu’il considère comme une dérive du pouvoir en place. Enfin, le parti exhorte l’opposition, dans toutes ses composantes, à « la vigilance et à l’unité », afin de construire « une alternative crédible ».
Pour l’APR, ce remaniement est un « contre-feu » visant à détourner l’attention des difficultés rencontrées par le gouvernement, qu’il s’agisse de ses relations avec le FMI, de la gestion des inondations, de la campagne agricole ou encore, de la politique de l’emploi.
Le parti juge que le gouvernement Sonko 2 « illustre la continuité d’une gouvernance tatillonne » et qu’il est marqué par « l’errance des nouvelles autorités depuis 17 mois, sur fond de règlement de comptes ». Dans sa lecture, aucune solution aux difficultés économiques et sociales des Sénégalais ne peut en découler.
Le texte dénonce également la « culture du ressentiment » et « le rêve d’une justice partisane », accusant le régime d’ignorer les préoccupations quotidiennes comme le chômage et la vie chère.
L’APR s’inquiète par ailleurs de ce qu’il qualifie de « kidnapping politique » de certains de ses responsables, notamment des maires de grandes agglomérations, poursuivis dans des dossiers de reddition des comptes, alors que « de nombreux scandales secouent la gouvernance des nouvelles autorités, l’Asergate et l’Onasgate, entre autres ».
Tout en exprimant sa confiance aux magistrats et aux acteurs du système électoral, l’APR appelle les forces vives de la nation à « se dresser » face à ce qu’il considère comme une dérive du pouvoir en place. Enfin, le parti exhorte l’opposition, dans toutes ses composantes, à « la vigilance et à l’unité », afin de construire « une alternative crédible ».