La Coordination des associations de presse du Sénégal a été, à la demande du ministre Aly Ngouille Ndiaye, au ministère de l'intérieur cet après-midi. Ce, après avoir déposé leur lettre de protestation contre l'agression de Adja Ndiaye de Dakaractu par la police, lundi dernier.
Dans cette lettre, il a été rappelé au ministre de l'intérieur Aly Ngouille Ndiaye, les nombreuses exactions répétées à l'encontre des professionnels de la presse. La CAP soulignera en outre que, malgré tout cela, aucune plainte n'a été faite parce que, considérant que les forces de l'ordre et la presse sont des partenaires dans le cadre du travail qui les voit souvent dans un même champ d'évolution.
Cette agression de Adja Ndiaye a donc constitué le déclic, qui voudrait qu'une bonne fois pour toutes, ces agissements soient réglés et les limites de chaque partie soient définies.
Se basant sur la position appréciable que le Sénégal a dans le classement de la liberté de la presse, la coalition des associations de la presse sénégalaise souligne qu'avec ces agressions, ce classement reste menacé.
La Cap a interpellé le ministre sur toutes ces dérives et espère, que cette lettre de protestation sera bien étudiée et les responsabilités situées.
La Cap réclame également le respect par les forces de l'ordre, de la loi et de l'arrêt des actes de violence exercés sur les citoyens dans l'exercice de leurs droits que leur confère la constitution...
Dans cette lettre, il a été rappelé au ministre de l'intérieur Aly Ngouille Ndiaye, les nombreuses exactions répétées à l'encontre des professionnels de la presse. La CAP soulignera en outre que, malgré tout cela, aucune plainte n'a été faite parce que, considérant que les forces de l'ordre et la presse sont des partenaires dans le cadre du travail qui les voit souvent dans un même champ d'évolution.
Cette agression de Adja Ndiaye a donc constitué le déclic, qui voudrait qu'une bonne fois pour toutes, ces agissements soient réglés et les limites de chaque partie soient définies.
Se basant sur la position appréciable que le Sénégal a dans le classement de la liberté de la presse, la coalition des associations de la presse sénégalaise souligne qu'avec ces agressions, ce classement reste menacé.
La Cap a interpellé le ministre sur toutes ces dérives et espère, que cette lettre de protestation sera bien étudiée et les responsabilités situées.
La Cap réclame également le respect par les forces de l'ordre, de la loi et de l'arrêt des actes de violence exercés sur les citoyens dans l'exercice de leurs droits que leur confère la constitution...