L’ancien ministre-conseiller, Pr Malick Ndiaye, estime que le chef de l’Etat a pris la décision de se séparer de lui, mais il est toujours membre de Macky2012. « Je n’assume plus les fonctions de ministre-conseiller auprès du président de la République, mais je suis toujours membre de la coalition Macky2012. Je crois toujours que la personne la mieux placée pour résoudre les problèmes des Sénégalais, c’est Macky Sall. C’est d’ailleurs pour cela que je persiste et signe : Macky a quitté le droit chemin. Il faut qu’il revienne à de meilleurs sentiments avant que les forces de la restauration de l’ancien régime ne submergent la deuxième alternance », prévient le professeur.
Donnant son avis sur la reddition des comptes, M. Ndiaye soutient : « Macky Sall n’a pu accumuler sa fortune déclarée durant un aussi court temps tout comme Karim, Idrissa Seck ou Tanor Dieng. Ils doivent rendre compte mais, dans des conditions normales, apaisées, où les lois écrites que nous avons empruntées à l’Europe seraient combinées aux lois non écrites ».
Pour Pr Ndiaye, c’est par le retour aux méthodes et principes propres à nos réalités, comme le dialogue, qu’on pourra faire reculer le « crétinisme » qui s’est emparé du Parlement où on ne discute que de Présidentielle à gagner, de référendum…… Ce qui démontre la « nullité d’une classe politique qui est arrivée à terme ». Ainsi, pour sauver la deuxième alternance qui est sur le point de se perdre, Pr Malick Ndiaye prône la révolution de la classe politique. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il a écrit son livre : "Où va la République ?".
Donnant son avis sur la reddition des comptes, M. Ndiaye soutient : « Macky Sall n’a pu accumuler sa fortune déclarée durant un aussi court temps tout comme Karim, Idrissa Seck ou Tanor Dieng. Ils doivent rendre compte mais, dans des conditions normales, apaisées, où les lois écrites que nous avons empruntées à l’Europe seraient combinées aux lois non écrites ».
Pour Pr Ndiaye, c’est par le retour aux méthodes et principes propres à nos réalités, comme le dialogue, qu’on pourra faire reculer le « crétinisme » qui s’est emparé du Parlement où on ne discute que de Présidentielle à gagner, de référendum…… Ce qui démontre la « nullité d’une classe politique qui est arrivée à terme ». Ainsi, pour sauver la deuxième alternance qui est sur le point de se perdre, Pr Malick Ndiaye prône la révolution de la classe politique. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il a écrit son livre : "Où va la République ?".
