Mais, « il a tout faux », a apprécié l’ancien gouverneur Mbagnick Ndiaye. Selon le spécialiste des collectivités territoriales, l’installation d’une délégation spéciale ainsi que l’organisation de nouvelles élections fondée sur la loi pour cette collectivité territoriale ne sont pas à exclure.
"Tant que le bureau du Conseil municipal n’est pas complètement installé, le travail ne peut pas officiellement démarré. La levée de l’audience en présence du représentant de l’État constitue une morsure juridique", a-t-il justifié.
Poursuivant, il a souligné que la présence de ce dernier est délimitée par la loi 2013 portant Code général des collectivités territoriales. Par conséquent, a-t-il tranché : "les séances du Conseil municipal ne peuvent pas se dérouler sans la présence du représentant de l’État".
"Tant que le bureau du Conseil municipal n’est pas complètement installé, le travail ne peut pas officiellement démarré. La levée de l’audience en présence du représentant de l’État constitue une morsure juridique", a-t-il justifié.
Poursuivant, il a souligné que la présence de ce dernier est délimitée par la loi 2013 portant Code général des collectivités territoriales. Par conséquent, a-t-il tranché : "les séances du Conseil municipal ne peuvent pas se dérouler sans la présence du représentant de l’État".