"Le Témoin" qui relaie l’information, rappelle que le jour des faits, le prévenu était convoqué au tribunal, dans le cadre d’une procédure de divorce avec sa seconde épouse. Il a été placé en détention, suite à «un échange tendu avec le juge».
En effet, tout a commencé quand sa femme lui a tendu un document sur instruction du juge. Le prévenu estime que c’est écrit au crayon et refuse de prendre le document.
«Le juge a crié sur moi, alors qu’il n’en avait pas le droit. Je lui ai rendu la pareille en lui criant dessus, en lui disant que ce n’est pas à mon épouse de me donner les documents. Je me suis senti humilié», a déclaré le prévenu.
Mais le journal ajoute qu’il n’y a pas que le juge à avoir reçu les foudres de cet enseignant colérique. En effet, les agents de sécurité de proximité appelés à le faire sortir, n’ont pas été épargnés.
A l’audience du mardi, l’enseignant n’a pas regretté son acte, estimant connaitre ses droits. «Vous avez confondu votre salle de classe à la salle d’audience. Par respect pour l’institution, vous auriez dû vous conformer à la loi. Selon la procédure, ce sont bien les parties qui s’échangent les documents», lui déclare le président de séance.
Le Procureur, pour sa part, a regretté le manque croissant de respect envers les institutions et leurs représentants. Le Ministère public a requis un an de prison ferme contre le prévenu, qui sera fixé sur son sort le 20 mai prochain.
En effet, tout a commencé quand sa femme lui a tendu un document sur instruction du juge. Le prévenu estime que c’est écrit au crayon et refuse de prendre le document.
«Le juge a crié sur moi, alors qu’il n’en avait pas le droit. Je lui ai rendu la pareille en lui criant dessus, en lui disant que ce n’est pas à mon épouse de me donner les documents. Je me suis senti humilié», a déclaré le prévenu.
Mais le journal ajoute qu’il n’y a pas que le juge à avoir reçu les foudres de cet enseignant colérique. En effet, les agents de sécurité de proximité appelés à le faire sortir, n’ont pas été épargnés.
A l’audience du mardi, l’enseignant n’a pas regretté son acte, estimant connaitre ses droits. «Vous avez confondu votre salle de classe à la salle d’audience. Par respect pour l’institution, vous auriez dû vous conformer à la loi. Selon la procédure, ce sont bien les parties qui s’échangent les documents», lui déclare le président de séance.
Le Procureur, pour sa part, a regretté le manque croissant de respect envers les institutions et leurs représentants. Le Ministère public a requis un an de prison ferme contre le prévenu, qui sera fixé sur son sort le 20 mai prochain.