La section du Syndicat unique des travailleurs de la santé et de l’action sociale (Sutsas)/Samu national est consciente de l'importance que le président de la République Macky Sall et son ministre de la Santé et de l’Action sociale Abdoulaye Diouf Sarr accordent au Samu national dans sa mission de gestion des urgences.
Pour preuve, lors de l’inauguration du nouveau bâtiment et du centre de simulation, le ministre avait réitéré, « je cite : en effet, sans les interventions du Samu national, certainement que le bilan humain de la covid 19 serait plus lourd avec un nombre de décès plus important ».
Malgré tous ces efforts fournis par la tutelle, le Directeur du Samu national en l’occurrence le professeur, « Mamadou Diarrah Beye est en train de piétiner les droits et les intérêts des travailleurs », lit-on dans un communiqué parvenu à leral.
La section fustige la gestion « nébuleuse » de M Beye qui est à la tête du Samu national depuis presque dix ans (2012). La section dénonce les difficiles conditions de vie et de travail des agents des autres antennes Nord de Saint-Louis et centre de Kaolack.
« L’intimidation, le harcèlement subi par le personnel, le licenciement de contractuels, l’affectation arbitraire d’un infirmier, celui-ci étant membre fondateur dit syndicat et élu par ses pairs comme représentant du personnel au conseil d’administration sont autant de choses à dénoncer », cogne le Sutsas/Samu national.
« C’est un Directeur habitué à piétiner nos droits et ce, depuis Ebola en passant par la covid 19 où nous sommes à 08 voire 09 mois d’arriérés de motivation. Cette prime de motivation covid, objet de tous les litiges, ne fera point sujet à un renoncement quel que soit la menace faite », ajoute la section qui pense qu'il n,y a plus méritant que le Samu national dans cette motivation covid 19.
Pour preuve, lors de l’inauguration du nouveau bâtiment et du centre de simulation, le ministre avait réitéré, « je cite : en effet, sans les interventions du Samu national, certainement que le bilan humain de la covid 19 serait plus lourd avec un nombre de décès plus important ».
Malgré tous ces efforts fournis par la tutelle, le Directeur du Samu national en l’occurrence le professeur, « Mamadou Diarrah Beye est en train de piétiner les droits et les intérêts des travailleurs », lit-on dans un communiqué parvenu à leral.
La section fustige la gestion « nébuleuse » de M Beye qui est à la tête du Samu national depuis presque dix ans (2012). La section dénonce les difficiles conditions de vie et de travail des agents des autres antennes Nord de Saint-Louis et centre de Kaolack.
« L’intimidation, le harcèlement subi par le personnel, le licenciement de contractuels, l’affectation arbitraire d’un infirmier, celui-ci étant membre fondateur dit syndicat et élu par ses pairs comme représentant du personnel au conseil d’administration sont autant de choses à dénoncer », cogne le Sutsas/Samu national.
« C’est un Directeur habitué à piétiner nos droits et ce, depuis Ebola en passant par la covid 19 où nous sommes à 08 voire 09 mois d’arriérés de motivation. Cette prime de motivation covid, objet de tous les litiges, ne fera point sujet à un renoncement quel que soit la menace faite », ajoute la section qui pense qu'il n,y a plus méritant que le Samu national dans cette motivation covid 19.
