Depuis 2012, les habitants de Saré Bidji luttent contre une dynamique d’accaparement foncier menée par des "prédateurs" que le FRAPP qualifie, de sans scrupules. Selon Aliou Gérard Koïta, de nombreuses familles sont ainsi privées de leurs champs, vergers et même de leurs habitations, les exposant à une vulnérabilité extrême.
« Les Sénégalais connaissent désormais les méthodes des tailleurs fonciers et les fonctionnaires souvent impliqués dans ces tripatouillages. Il est temps que la DSCOS fasse preuve de fermeté face à ces abus », a-t-il martelé. Le FRAPP exige notamment un audit foncier complet à Kolda, estimant qu’un "bon coup de balai" est plus que nécessaire pour assainir la situation.
Le Délégué a aussi exprimé sa profonde indignation envers la municipalité de Kolda, accusée d’abandonner les anciens gardiens d’école, employés communaux aujourd’hui à la retraite, mais toujours en attente de leur pension.
« La mairie ne peut se dédouaner de ses responsabilités, sous prétexte que ces recrutements datent d’une autre époque. Il y a une continuité de l’État, y compris au niveau des collectivités locales », a-t-il souligné.
Pour le FRAPP, ces anciens travailleurs "sont nos pères, nos oncles, nos voisins", et leur dignité n’est pas négociable. L’organisation promet de maintenir la mobilisation jusqu’à ce que justice leur soit rendue.
« Le combat continue, et nous ne lâcherons rien », a conclu Aliou Gérard Koïta, réaffirmant l’engagement du FRAPP Kolda aux côtés des populations victimes d’injustices sociales et foncières.
« Les Sénégalais connaissent désormais les méthodes des tailleurs fonciers et les fonctionnaires souvent impliqués dans ces tripatouillages. Il est temps que la DSCOS fasse preuve de fermeté face à ces abus », a-t-il martelé. Le FRAPP exige notamment un audit foncier complet à Kolda, estimant qu’un "bon coup de balai" est plus que nécessaire pour assainir la situation.
Le Délégué a aussi exprimé sa profonde indignation envers la municipalité de Kolda, accusée d’abandonner les anciens gardiens d’école, employés communaux aujourd’hui à la retraite, mais toujours en attente de leur pension.
« La mairie ne peut se dédouaner de ses responsabilités, sous prétexte que ces recrutements datent d’une autre époque. Il y a une continuité de l’État, y compris au niveau des collectivités locales », a-t-il souligné.
Pour le FRAPP, ces anciens travailleurs "sont nos pères, nos oncles, nos voisins", et leur dignité n’est pas négociable. L’organisation promet de maintenir la mobilisation jusqu’à ce que justice leur soit rendue.
« Le combat continue, et nous ne lâcherons rien », a conclu Aliou Gérard Koïta, réaffirmant l’engagement du FRAPP Kolda aux côtés des populations victimes d’injustices sociales et foncières.