Selon l’UNTJ, des démarches avaient été entreprises pour mettre en place un cadre concerté de dialogue, afin d’éviter les luttes dispersées et inefficaces qui ont marqué le passé.
Une rencontre physique avait d’ailleurs été programmée le 13 juin 2025, mais annulée à cause de conditions météorologiques défavorables. Pour maintenir la dynamique, un groupe WhatsApp baptisé « Entente UNTJ-SYTJUST » avait été créé, afin de faciliter les échanges.
Cependant, contre toute attente, le SYTJUST a informé par téléphone, le 16 juin au soir, de sa décision unilatérale de décréter une grève de 48 heures, sans concertation préalable. Une attitude que l’UNTJ qualifie de « mauvaise foi », rappelant que cette méthode est à l’origine de plusieurs malaises dans les juridictions ces dernières années.
Malgré ce désaccord, l’UNTJ réaffirme son attachement à l’unité syndicale et invite l’ensemble des travailleurs de la justice à rester mobilisés, pour défendre la dignité et les intérêts des travailleurs du secteur.
Une rencontre physique avait d’ailleurs été programmée le 13 juin 2025, mais annulée à cause de conditions météorologiques défavorables. Pour maintenir la dynamique, un groupe WhatsApp baptisé « Entente UNTJ-SYTJUST » avait été créé, afin de faciliter les échanges.
Cependant, contre toute attente, le SYTJUST a informé par téléphone, le 16 juin au soir, de sa décision unilatérale de décréter une grève de 48 heures, sans concertation préalable. Une attitude que l’UNTJ qualifie de « mauvaise foi », rappelant que cette méthode est à l’origine de plusieurs malaises dans les juridictions ces dernières années.
Malgré ce désaccord, l’UNTJ réaffirme son attachement à l’unité syndicale et invite l’ensemble des travailleurs de la justice à rester mobilisés, pour défendre la dignité et les intérêts des travailleurs du secteur.