Le secteur du travail formel comme informel va subir les affres des pluies d'autant que certains travailleurs trouvent le malin plaisir à ne pas se rendre au boulot, prétextant le manque de voitures ou temps impraticable, n'ayant aucun chemin à se frayer.
Keur Massar, le traumatisme de l'année dernière
Et ce qui s'est passé l'année dernière à Keur Massar, faisant passer la localité comme une Venise locale, en référence à une région de l'Italie où les habitants circulent à partir d'embarcations, car entourés d'eau. C'est le calvaire subi par Keur Massar lors de l'hivernage passé et les spectres de ce cauchemar sont encre frais dans les mémoires.
Flambées des prix
En cette période de préparation pour la Tabaski, ce sera encore compliqué pour les populations qui utilisent les transports en commun et ou les taxis. Les chauffeurs du premier type trouvent le malin plaisir à casser les lieux et au lieu de cent (100) francs, peuvent récolter trois ou quatre cents francs sur le même trajet. Les taxis, n'en parlons pas. Déjà que les prix sont chers pour les usagers, mais que Dakar enregistre les premières gouttes de pluie, c'est la ruée vers l'or. pour un trajet qui faisait mille francs (1000), le client est "obligé" de casquer trois fois le prix initial. Et pour ceux qui se rendent en banlieue, c'est six ou sept mille francs. A prendre ou à laisser.
Keur Massar, le traumatisme de l'année dernière
Et ce qui s'est passé l'année dernière à Keur Massar, faisant passer la localité comme une Venise locale, en référence à une région de l'Italie où les habitants circulent à partir d'embarcations, car entourés d'eau. C'est le calvaire subi par Keur Massar lors de l'hivernage passé et les spectres de ce cauchemar sont encre frais dans les mémoires.
Flambées des prix
En cette période de préparation pour la Tabaski, ce sera encore compliqué pour les populations qui utilisent les transports en commun et ou les taxis. Les chauffeurs du premier type trouvent le malin plaisir à casser les lieux et au lieu de cent (100) francs, peuvent récolter trois ou quatre cents francs sur le même trajet. Les taxis, n'en parlons pas. Déjà que les prix sont chers pour les usagers, mais que Dakar enregistre les premières gouttes de pluie, c'est la ruée vers l'or. pour un trajet qui faisait mille francs (1000), le client est "obligé" de casquer trois fois le prix initial. Et pour ceux qui se rendent en banlieue, c'est six ou sept mille francs. A prendre ou à laisser.