
Les confrères logés à l’immeuble dénommé ‘’Boutique américaine’’, à l’instar des autres ont eu accès à des ordinateurs, pour le traitement de leur texte, des appareils pour leurs liaisons téléphoniques entre autres installations de qualité. Pour joindre l’utile à l’agréable, les organisateurs ont, en plus des installations techniques, mobilisé les moyens d’hébergement et de restauration pour l’épanouissement des journalistes. Ces derniers, approchés, ont à l’unanimité, apprécié le traitement dont ils ont bénéficié et c’est ce que confirme Saliou Ndiaye, reporter en service à la direction de l’alphabétisation et des langues nationales (DALN). « On peut admettre que les conditions sont acceptables, dans la mesure où chaque reporter a en plus d’être bien accueilli, eu droit à un matelas, et quelques outils de travail pour bien faire son boulot. Les repas sont suffisants et bien garnis avec tous ce qui va avec, on peut vraiment dire que les journalistes sont bien gâtés. Nous remercions ainsi le khalife général des mourides qui certainement n’a pas lésiné sur les moyens pour mettre la presse dans de meilleures conditions », dira ce journaliste qui estime qu’après tout cela, la balle est dans le camp de la presse. « Nous autres avons alors toutes les prédispositions pour relayer l’information auprès des gens qui n’ont pas pu faire le déplacement » a-t-il dit.