Malgré les actions de solidarité locales, la souffrance demeure. Des personnalités comme l’honorable député Abdou Lahad Ndiaye, El Hadji Omar Guèye (Pastef), l’honorable Marième Fall, le coordinateur communal de Pastef, Khafa Aïdara, ainsi que le directeur de l’OFOR, Serigne Mbacké Dieng, ont apporté un soutien salutaire, en distribuant des citernes d’eau. Mais pour les habitants, ce geste reste insuffisant face à l’ampleur du problème.
Dans un appel solennel, Souleymane Sèye, responsable local du parti Pastef, interpelle directement le ministre de l’Hydraulique, Dr. Cheikh Tidiane Dièye, pour une intervention rapide et structurelle. Selon lui, la situation de Gouye Mbeuth est révélatrice d’une injustice sociale persistante, d’autant plus inacceptable que le village se trouve à seulement 25 km de Keur Momar Sarr et à moins de 14 km d’un tuyau du Lac de Guiers.
« Le régime actuel, qui a fait de la justice sociale, un principe directeur, ne peut ignorer cette souffrance. Nous ne demandons pas de privilège, mais simplement l’application du droit fondamental à l’eau potable, garanti par notre Constitution et les lois de décentralisation », déclare-t-il.
Il rappelle à ce titre, que l’accès équitable aux services sociaux de base est un principe à valeur constitutionnelle et qu’aucune politique publique ne saurait entretenir une hiérarchisation entre populations urbaines et rurales.
Alors que Gouye Mbeuth abrite l’un des plus grands marchés hebdomadaires du pays, ses habitants s’interrogent : comment expliquer un tel abandon ? Ils réclament des actes concrets et la réparation d’une injustice structurelle, dans un pays qui prône désormais la rupture et l’équité territoriale.
Dans un appel solennel, Souleymane Sèye, responsable local du parti Pastef, interpelle directement le ministre de l’Hydraulique, Dr. Cheikh Tidiane Dièye, pour une intervention rapide et structurelle. Selon lui, la situation de Gouye Mbeuth est révélatrice d’une injustice sociale persistante, d’autant plus inacceptable que le village se trouve à seulement 25 km de Keur Momar Sarr et à moins de 14 km d’un tuyau du Lac de Guiers.
« Le régime actuel, qui a fait de la justice sociale, un principe directeur, ne peut ignorer cette souffrance. Nous ne demandons pas de privilège, mais simplement l’application du droit fondamental à l’eau potable, garanti par notre Constitution et les lois de décentralisation », déclare-t-il.
Il rappelle à ce titre, que l’accès équitable aux services sociaux de base est un principe à valeur constitutionnelle et qu’aucune politique publique ne saurait entretenir une hiérarchisation entre populations urbaines et rurales.
Alors que Gouye Mbeuth abrite l’un des plus grands marchés hebdomadaires du pays, ses habitants s’interrogent : comment expliquer un tel abandon ? Ils réclament des actes concrets et la réparation d’une injustice structurelle, dans un pays qui prône désormais la rupture et l’équité territoriale.