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Gestion et maintenance des installations hydro agricoles dans l’Anambé Vers la création de deux fonds


Rédigé le Mardi 21 Décembre 2021 à 12:57 | Lu 128 fois | 4 commentaire(s)



Depuis la construction de 2 grands barrages, au début des années 1980, dans le département de Vélingara, et les ouvrages qui vont avec pour l’irrigation de 5000 ha de terres aménagées dans le bassin de l’Anambé, les installations et les équipements se détériorent progressivement, par la forte pression à l’usage, pour certains, mais aussi par grippage, faute d’être utilisées pour d’autres.


Gestion et maintenance des installations hydro agricoles dans l’Anambé Vers la création de deux fonds
La Société de développement agricole et industriel du Sénégal (Sodagri), en charge de l’appui-conseil dans le bassin, ne trouve pas toujours les moyens de leur entretien, cela dans un contexte de retrait progressif de l’Etat. C’est pourquoi, le projet Tiers sud bey daaré, en collaboration avec la Sodagri, aide les organisations de producteurs dans le montage technique de 2 fonds, pour que le bassin continue à valoir des satisfactions à la Nation, en termes de production agricole et pour que les installations ne se grippent définitivement.

L’un appelé Fonds de maintenance des infrastructures structurantes du bassin de l’Anambé (Fomisa), destiné au financement des coûts de gestion, d’entretien et de maintenance des aménagements et infrastructures, et l’autre nommé Fonds de maintenance des équipements et stations de pompage du bassin de l’Anambé (Fomespa) pour le financement de la gestion et la pérennisation des barrages, des drains, des pistes, des digues et chenaux d’amenée.

Les 13 et 14 décembre derniers, la Sodagri et son partenaire, le projet Tiers sud bey daaré, ont organisé un atelier de réflexion à Vélingara pour la mise en place et la gestion de ces 2 fonds.

Le principe accepté par les producteurs, conscients des enjeux et de la situation actuelle du bassin, qui ont provoqué cette initiative, Oumar Baldé, président de la Fédération des producteurs du bassin de l’Anambé (Feproba), a dit : «Nous avons tenu plusieurs ateliers dans le sens d’un transfert progressif de la gestion des ouvrages aux producteurs. Les unions de producteurs ont adhéré au projet et ont même fait des propositions de partage des responsabilités et fixé les redevances à payer sur le foncier comme sur l’utilisation des équipements hydroagricoles ».

« Nous sommes ici pour en étudier les aspects juridiques, faire des simulations de montage financier et écouter les expériences du genre vécues par les producteurs du bassin du fleuve Sénégal. Tous les engagements pris seront respectés. C’est le gage de la durabilité et la rentabilité de l’outil de production pour le bénéfice du producteur et de la sécurité alimentaire du Sénégal.»

La Saed donnée en exemple

Pour l’analyse de la faisabilité économique et financière de ces 2 fonds, l’ingénieur en Géniecivil, Maguette Wade, commis par le projet Tiers sud bey daaré, a «identifié l’ensemble des charges qui sont nécessaires pour faire tourner les équipements de pompage qui acheminent l’eau depuis les barrages jusqu’aux parcelles irriguées, mais aussi pour maintenir les barrages ainsi que les autres ouvrages que sont les canaux, les chenaux, les drains, les pistes pour qu’ils puissent rester intacts. Ces charges ont été réparties en 2 catégories »

. Une première qu’on appelle fonds de maintenance des infrastructures structurantes de l’Anambé qui concerne tout le monde, tous les périmètres irrigués. Et l’autre, c’est un fonds qui permet de prélever l’eau et l’acheminer dans les terres agricoles. Ce sont les stations de pompage, c’est tout le dispositif qui accompagne : les pompistes, leurs salaires, les surveillants des réseaux, l’électricité, le carburant pour faire tourner les groupes, etc.».

Maguette Wade s’est inspiré de l’exemple de la Société d’aménagement des eaux du Delta (Saed) pour faire ces propositions. D’ailleurs, à cet atelier, un expert de la Saed, Sidate Guèye, a pris part pour offrir l’exemple de la Saed en matière de transfert de responsabilité aux producteurs. Une partie des fonds devrait provenir de la contribution des producteurs et une autre de l’Etat, selon les suggestions émises, pour l’instant
Le Quotidien



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