Le Cœur Infini des Mères
En ce jour de Fête des Mères, mon cœur se tourne vers Ndangalma, vers l'accueil chaleureux de cette maman qui, chaque année, ouvre sa porte aux marcheurs de Doxu Safar. À travers elle, je vois le visage de toutes les mères, celles qui donnent sans compter, qui veillent sans relâche et qui, par leur simple présence, illuminent nos vies.
Je pense bien sûr à Sokhna Mariama Samb, ma propre maman. Elle qui, à chaque fois que la maladie me clouait au lit, semblait porter mon fardeau avec une intensité décuplée. Ses yeux reflétaient ma fièvre, ses mains frottaient mon front avec une tendresse infinie et ses prières silencieuses étaient mes plus puissants remèdes. C'est elle qui, par sa force inébranlable et son amour inconditionnel, m'a appris la résilience.
Car c'est là toute la magie d'une mère : une capacité surhumaine à aimer, à protéger, à guérir. Elles sont les piliers de nos familles, les gardiennes de nos souvenirs, les premières à célébrer nos victoires et les dernières à nous réconforter dans nos peines. Elles sont l'encre indélébile de nos premières leçons, les mélodies apaisantes de nos berceuses et les phares qui nous guident à travers les tempêtes de la vie.
Chaque mère est un univers de dévouement, un océan de patience et un puits intarissable de sagesse. Elles nous donnent la vie, puis passent la leur à s'assurer que la nôtre soit douce, pleine et lumineuse. Leurs sacrifices sont souvent invisibles, leurs nuits blanches innombrables, mais leur amour, lui, est palpable, omniprésent.
Alors aujourd'hui, célébrons-les toutes. Celles qui sont encore à nos côtés, celles qui nous ont quittés, mais dont l'empreinte demeure à jamais gravée dans nos cœurs, et celles qui, à travers le monde, accomplissent chaque jour, le miracle de l'amour maternel. Remercions-les pour chaque sourire, chaque conseil, chaque étreinte. Pour leur force tranquille et leur tendresse infinie.
Talla Sylla, fils de Sokhna Mariama
En ce jour de Fête des Mères, mon cœur se tourne vers Ndangalma, vers l'accueil chaleureux de cette maman qui, chaque année, ouvre sa porte aux marcheurs de Doxu Safar. À travers elle, je vois le visage de toutes les mères, celles qui donnent sans compter, qui veillent sans relâche et qui, par leur simple présence, illuminent nos vies.
Je pense bien sûr à Sokhna Mariama Samb, ma propre maman. Elle qui, à chaque fois que la maladie me clouait au lit, semblait porter mon fardeau avec une intensité décuplée. Ses yeux reflétaient ma fièvre, ses mains frottaient mon front avec une tendresse infinie et ses prières silencieuses étaient mes plus puissants remèdes. C'est elle qui, par sa force inébranlable et son amour inconditionnel, m'a appris la résilience.
Car c'est là toute la magie d'une mère : une capacité surhumaine à aimer, à protéger, à guérir. Elles sont les piliers de nos familles, les gardiennes de nos souvenirs, les premières à célébrer nos victoires et les dernières à nous réconforter dans nos peines. Elles sont l'encre indélébile de nos premières leçons, les mélodies apaisantes de nos berceuses et les phares qui nous guident à travers les tempêtes de la vie.
Chaque mère est un univers de dévouement, un océan de patience et un puits intarissable de sagesse. Elles nous donnent la vie, puis passent la leur à s'assurer que la nôtre soit douce, pleine et lumineuse. Leurs sacrifices sont souvent invisibles, leurs nuits blanches innombrables, mais leur amour, lui, est palpable, omniprésent.
Alors aujourd'hui, célébrons-les toutes. Celles qui sont encore à nos côtés, celles qui nous ont quittés, mais dont l'empreinte demeure à jamais gravée dans nos cœurs, et celles qui, à travers le monde, accomplissent chaque jour, le miracle de l'amour maternel. Remercions-les pour chaque sourire, chaque conseil, chaque étreinte. Pour leur force tranquille et leur tendresse infinie.
Talla Sylla, fils de Sokhna Mariama