Le coordonnateur de la Coscpac, Henry Ndecky, a fait le plaidoyer à l’occasion d’un atelier sous-régional d’élaboration du plan stratégique financier de son organisation pour les cinq prochaines années, les 20 et 21 septembre 2022 à Kolda, en présence des acteurs de la société civile en provenance de Gambienne et de Guinéé-Bissau. Conséquence, «elle n’est ni Gambienne, ni Guinéenne, ni Sénégalaise», a-t-il poursuivi. Avant d’insister, pour le déplorer, sur «la situation de ces enfants sans papiers issus des familles des réfugiés» qui, dit-il, sont légion dans les pays voisins. Puisque certains d’entre eux ont été rencontrés par les membres des missions que la Coscpac a envoyées auprès de ces familles, dans le cadre de l’élaboration de la feuille de route pour le retour définitif de la paix.
Pour M. Necky, « on doit tout faire pour que ces enfants victimes du conflit en Casamance puissent être enregistrés à l’état-civil, afin qu’ils puissent exister juridiquement et obtenir la nationalité sénégalaise ».
Pour M. Necky, « on doit tout faire pour que ces enfants victimes du conflit en Casamance puissent être enregistrés à l’état-civil, afin qu’ils puissent exister juridiquement et obtenir la nationalité sénégalaise ».