Et comme alternative, l’Asef, sise aux Iles canaries, voudrait que les autorités trouvent des solutions pour permettre aux Sénégalais d’avoir leurs passeports dans un délai record et à moindre coût. Surtout que, selon l’Asef, se déplacer à Madrid, épicentre de la pandémie, n’est pas toujours chose aisée, compte tenu de l’insularité et des raisons économiques et professionnelles.
L’Asef pense que la seule alternative possible à l’heure actuelle, c’est de déployer des équipes mobiles au niveau des localités pour éviter ces déplacements souvent périlleux, et minimiser autant que faire se peut, les risques de contagion. Car, précise-t-elle, nos compatriotes, surtout ceux des Iles Canaries, sont sérieusement confrontés à des problèmes, car les passeports qui étaient établis en avril 2015, sont aujourd’hui arrivés à expiration et ce document en cours de validité demeure un préalable pour toutes formalités administratives. Le plus désolant, selon l’Asef, c’est que la lettre écrite au ministre des Affaires étrangères depuis le 3 août et qui devrait passer par voie hiérarchique, c’est-à-dire via le consul, n’est parvenue au ministre que le 11 septembre dernier. Ce qui est inadmissible vu la complexité de la situation préoccupante des Sénégalais établis en Espagne, a conclu l’Asef.
L’Asef pense que la seule alternative possible à l’heure actuelle, c’est de déployer des équipes mobiles au niveau des localités pour éviter ces déplacements souvent périlleux, et minimiser autant que faire se peut, les risques de contagion. Car, précise-t-elle, nos compatriotes, surtout ceux des Iles Canaries, sont sérieusement confrontés à des problèmes, car les passeports qui étaient établis en avril 2015, sont aujourd’hui arrivés à expiration et ce document en cours de validité demeure un préalable pour toutes formalités administratives. Le plus désolant, selon l’Asef, c’est que la lettre écrite au ministre des Affaires étrangères depuis le 3 août et qui devrait passer par voie hiérarchique, c’est-à-dire via le consul, n’est parvenue au ministre que le 11 septembre dernier. Ce qui est inadmissible vu la complexité de la situation préoccupante des Sénégalais établis en Espagne, a conclu l’Asef.