"Nous avons enregistré beaucoup de progrès au niveau de la région, mais nous restons confrontés à certaines difficultés, notamment au niveau du personnel de santé", a-t-il dit, lors de la revue annuelle conjointe du Ministère de la Santé et l'Action Sociale.
«Nous n'avons pas suffisamment de sages-femmes. Nous manquons des spécialistes comme des pédiatres. Nous avons qu'un seul pour toute la région, nos blocs opératoires sont fermés parce que nous n'avons pas de spécialistes en anesthésie-réanimation, ni de gynécologue», a déploré Dr. Senghor, informe Rewmi Quotidien.
Il a souligné que le manque de ressources humaines et en équipement risque d'impacter les indicateurs, bien que la région ait été "performante dans presque tous les programmes de santé ".
"La revue annuelle conjointe régionale va permettre d'évaluer les niveaux de performances de chaque programme de santé, mais aussi de "voir comment maintenir les acquis, améliorer certains points et formuler des recommandations", a expliqué le Médecin- chef de Louga. Cheikh Sadibou Senghor a précisé que sa structure portera les préoccupations au niveau national, auprès des décideurs.
«Nous n'avons pas suffisamment de sages-femmes. Nous manquons des spécialistes comme des pédiatres. Nous avons qu'un seul pour toute la région, nos blocs opératoires sont fermés parce que nous n'avons pas de spécialistes en anesthésie-réanimation, ni de gynécologue», a déploré Dr. Senghor, informe Rewmi Quotidien.
Il a souligné que le manque de ressources humaines et en équipement risque d'impacter les indicateurs, bien que la région ait été "performante dans presque tous les programmes de santé ".
"La revue annuelle conjointe régionale va permettre d'évaluer les niveaux de performances de chaque programme de santé, mais aussi de "voir comment maintenir les acquis, améliorer certains points et formuler des recommandations", a expliqué le Médecin- chef de Louga. Cheikh Sadibou Senghor a précisé que sa structure portera les préoccupations au niveau national, auprès des décideurs.
