En conférence de presse, Mamadou Diop Decroix a rappelé que le 26 février 2017 devait coïncider avec le vote du premier tour de l'élection présidentielle si Macky Sall avait accepté de réduire son mandat de sept à cinq ans. Le coordonnateur du Front patriotique pour la défense de la république ne compte toutefois pas baisser les bras face à cette situation et appelle à "un grand "Toxà l" pour déménager la majorité actuelle à l'Assemblée Nationale en vue d'engager les profondes réformes dont le pays a besoin en attendant de terminer le travail en 2019".
Pour atteindre cet objectif, il réitère son appel à l'opposition pour une coalition forte car selon lui, "une défaite cuisante aux législatives du 30 juillet 2017 pourrait amener le Président de la République à une présidentielle anticipée".
Mamadou Diop Decroix a par ailleurs renseigné que le régime actuel a échoué sur plusieurs fronts. Il liste entre autres, la flambée du prix des denrées de première nécessité, la panne de l'appareil de radiothérapie de l'hôpital Aristide Le Dantec.
Cet état de fait n'est selon lui que "la partie visible de la misère du secteur de la santé". Sur le plan politique, l'ancien ministre du Commerce dénonce "'la cannibalisation des institutions parlementaires et judiciaires,la la confiscation des libertés publiques et une répression sans précédent des opposants". Il invite également le gouvernement à éclairer la lanterne des Sénégalais sur la répartition des 15 députés de la Diaspora.
source: enquête
Pour atteindre cet objectif, il réitère son appel à l'opposition pour une coalition forte car selon lui, "une défaite cuisante aux législatives du 30 juillet 2017 pourrait amener le Président de la République à une présidentielle anticipée".
Mamadou Diop Decroix a par ailleurs renseigné que le régime actuel a échoué sur plusieurs fronts. Il liste entre autres, la flambée du prix des denrées de première nécessité, la panne de l'appareil de radiothérapie de l'hôpital Aristide Le Dantec.
Cet état de fait n'est selon lui que "la partie visible de la misère du secteur de la santé". Sur le plan politique, l'ancien ministre du Commerce dénonce "'la cannibalisation des institutions parlementaires et judiciaires,la la confiscation des libertés publiques et une répression sans précédent des opposants". Il invite également le gouvernement à éclairer la lanterne des Sénégalais sur la répartition des 15 députés de la Diaspora.
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