En mars 2021, dans la foulée des événements qui avaient secoué le pays et du discours de l’ancien président Macky Sall, assurant aux jeunes « je vous ai compris », Mme Diop, portée par sa fibre patriotique et son expertise, publiait sur Leral.net (article toujours disponible en ligne), une tribune détaillée.
Soucieuse d’apporter sa contribution à la construction nationale par l’emploi des jeunes, elle y proposait quatre mesures concrètes : le déploiement de kiosques, le nano-crédit, la décentralisation des services de la DER dans les 45 départements l’installation de la plateforme DER et d’autres mécanismes de financement inclusifs.
Ces idées, pourtant émises dans un esprit de contribution citoyenne, ont été reprises une à une par la DER, dès l’époque où Papa Amadou Sarr était encore à sa tête. Et jusqu’à ce jour, l’institution continue sans hésitation de plagier ce programme, en feignant d’en être la source originelle.
Ce procédé, loin d’être anodin, est une faute morale grave. Il démontre une absence de respect profond pour le travail des entrepreneurs de terrain et une incapacité à collaborer honnêtement. La DER gagnerait à reconnaître publiquement l’apport de ceux qui pensent et agissent avant elle, plutôt que d’user de leur expertise sans jamais les citer. Dans une époque où la sincérité et la transparence devraient être les fondements de l’action publique, ce pillage intellectuel est une insulte à l’éthique, au talent et à la jeunesse que la structure prétend servir.
Par ailleurs, Mme Diop avait, bien avant les promesses actuelles, plaidé pour une refonte du système éducatif, en y intégrant l’entrepreneuriat, le développement personnel et l’éducation financière, dès le plus jeune âge, tout en rendant le service militaire obligatoire, pour forger le civisme et le changement de mentalité des jeunes, car selon elle, l’entrepreneuriat, avant le financement, c’est le mindset.
Aujourd’hui, le nouveau régime reprend ses idées presque à l’identique, sans jamais reconnaître leur source. Cette absence de considération pour ceux qui ont tracé la voie, témoigne d’une culture du plagiat qui affaiblit la crédibilité des réformes et vide le changement annoncé de sa substance.
Soucieuse d’apporter sa contribution à la construction nationale par l’emploi des jeunes, elle y proposait quatre mesures concrètes : le déploiement de kiosques, le nano-crédit, la décentralisation des services de la DER dans les 45 départements l’installation de la plateforme DER et d’autres mécanismes de financement inclusifs.
Ces idées, pourtant émises dans un esprit de contribution citoyenne, ont été reprises une à une par la DER, dès l’époque où Papa Amadou Sarr était encore à sa tête. Et jusqu’à ce jour, l’institution continue sans hésitation de plagier ce programme, en feignant d’en être la source originelle.
Ce procédé, loin d’être anodin, est une faute morale grave. Il démontre une absence de respect profond pour le travail des entrepreneurs de terrain et une incapacité à collaborer honnêtement. La DER gagnerait à reconnaître publiquement l’apport de ceux qui pensent et agissent avant elle, plutôt que d’user de leur expertise sans jamais les citer. Dans une époque où la sincérité et la transparence devraient être les fondements de l’action publique, ce pillage intellectuel est une insulte à l’éthique, au talent et à la jeunesse que la structure prétend servir.
Par ailleurs, Mme Diop avait, bien avant les promesses actuelles, plaidé pour une refonte du système éducatif, en y intégrant l’entrepreneuriat, le développement personnel et l’éducation financière, dès le plus jeune âge, tout en rendant le service militaire obligatoire, pour forger le civisme et le changement de mentalité des jeunes, car selon elle, l’entrepreneuriat, avant le financement, c’est le mindset.
Aujourd’hui, le nouveau régime reprend ses idées presque à l’identique, sans jamais reconnaître leur source. Cette absence de considération pour ceux qui ont tracé la voie, témoigne d’une culture du plagiat qui affaiblit la crédibilité des réformes et vide le changement annoncé de sa substance.