La violence gagne de plus en plus du terrain dans certains quartiers de la banlieue dakaroise. Selon EnQuête qui a repris l'information du site Lignedirect.sn, deux jeunes ont rendu l’âme suite à une bagarre suivie d'un lynchage, au quartier Wakhinane Nimzatt. A l'origine du différend, O. Ndiaye, un jeune homme du quartier, qui s'en est pris à un boutiquier pour se plaindre des œufs pourris que ce dernier lui aurait vendu.
Après un refus catégorique du boutiquier de lui restituer les sous qu'il lui réclamait, O. Ndiaye part chercher des renforts. C'est un gang de sept jeunes qui débarque alors sur les lieux. Le boutiquier les voyant se barricade. Ne pouvant pas pénétrer dans la boutique, ils l'abreuvent d'injures. C'est alors qu'un certain Laurent Mendy, qui habite dans le coin, se pointe pour ramener les jeunes furieux à la raison. Selon toujours le journal, il sera malmené ainsi que son frère Michel Mendy. Ce dernier sera même poignardé au moment de fuir. La violence du choc est telle que la lame a traversé la poitrine du malheureux d'un bout à l'autre.
C'est alors que la foule se rebelle pour pourchasser ces jeunes agresseurs. L'un d'entre eux sera tabassé violemment. Transporté à l’hôpital Roi Baudouin de Guédiawaye, il y reçoit les premiers soins avant d’être transporté au commissariat de police de ladite localité où il décédera, renseigne le journal, des suites de ses blessures. Au total, ce drame aura coûté la vie à deux jeunes pour une banale histoire d’œufs pourris.
Après un refus catégorique du boutiquier de lui restituer les sous qu'il lui réclamait, O. Ndiaye part chercher des renforts. C'est un gang de sept jeunes qui débarque alors sur les lieux. Le boutiquier les voyant se barricade. Ne pouvant pas pénétrer dans la boutique, ils l'abreuvent d'injures. C'est alors qu'un certain Laurent Mendy, qui habite dans le coin, se pointe pour ramener les jeunes furieux à la raison. Selon toujours le journal, il sera malmené ainsi que son frère Michel Mendy. Ce dernier sera même poignardé au moment de fuir. La violence du choc est telle que la lame a traversé la poitrine du malheureux d'un bout à l'autre.
C'est alors que la foule se rebelle pour pourchasser ces jeunes agresseurs. L'un d'entre eux sera tabassé violemment. Transporté à l’hôpital Roi Baudouin de Guédiawaye, il y reçoit les premiers soins avant d’être transporté au commissariat de police de ladite localité où il décédera, renseigne le journal, des suites de ses blessures. Au total, ce drame aura coûté la vie à deux jeunes pour une banale histoire d’œufs pourris.
