Détenu depuis juin 2024 à la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Kaolack pour détention illégale d’arme et tentative de meurtre, le rappeur Alassane Diallo, alias Doff Ndèye, a obtenu une autorisation exceptionnelle de sortie, samedi 13 septembre 2025.
Selon des informations rapportées par Seneweb, cette mesure a été accordée par le juge d’instruction du premier cabinet du Tribunal de Kaolack, à la suite d’une requête déposée par son avocat, Me Abdou Aziz Diop.
Ce temps de liberté provisoire, limité à 24 heures, a permis à l’artiste de partager le deuil de sa mère, Awa Guèye, rappelée à Dieu le jour du Mawlid. Entouré de ses proches dans une ambiance mêlant émotion et prières, le rappeur a vécu cette parenthèse sous la surveillance stricte de l’administration pénitentiaire.
À l’issue de cette période, Doff Ndèye a regagné sa cellule à Kaolack. Ses proches ont profité de l’occasion pour solliciter la clémence de la justice, une démarche qui fait écho à l’appel de l’ONG islamique JAMRA.
Par la voix de son vice-président, Mame Makhtar Guèye, l’organisation avait récemment plaidé en faveur d’une liberté provisoire humanitaire, estimant que l’artiste devait pouvoir accompagner sa famille dans l’épreuve. Seneweb souligne que ce soutien renforce la pression autour de son dossier judiciaire.
Selon des informations rapportées par Seneweb, cette mesure a été accordée par le juge d’instruction du premier cabinet du Tribunal de Kaolack, à la suite d’une requête déposée par son avocat, Me Abdou Aziz Diop.
Ce temps de liberté provisoire, limité à 24 heures, a permis à l’artiste de partager le deuil de sa mère, Awa Guèye, rappelée à Dieu le jour du Mawlid. Entouré de ses proches dans une ambiance mêlant émotion et prières, le rappeur a vécu cette parenthèse sous la surveillance stricte de l’administration pénitentiaire.
À l’issue de cette période, Doff Ndèye a regagné sa cellule à Kaolack. Ses proches ont profité de l’occasion pour solliciter la clémence de la justice, une démarche qui fait écho à l’appel de l’ONG islamique JAMRA.
Par la voix de son vice-président, Mame Makhtar Guèye, l’organisation avait récemment plaidé en faveur d’une liberté provisoire humanitaire, estimant que l’artiste devait pouvoir accompagner sa famille dans l’épreuve. Seneweb souligne que ce soutien renforce la pression autour de son dossier judiciaire.
