La cérémonie de signature a eu lieu dans la résidence de l’ambassadeur du Royaume des Pays-Bas à Dakar, en présence des Ambassadeurs de France au Sénégal et de celui du royaume des Pays-Bas. Ces deux pays ont financé une grande partie des voletsdu projet.
Évoquer le passé, rappelle une baie de Hann, port naturel aux eaux calmes, claires, poissonneuses avec du sable fin et blanc, sur une plage bordée de cocotiers au Sud de la presqu’ile du Cap-Vert. Elle faisait le bonheur des plaisanciers, des pécheurs et des amateurs de belles plages.
Aujourd’hui, la baie est devenue impropre à la pêche et à la baignade. Chaque année, elle fait partie des plages interdites de baignades par la Direction de la protection civile. Les pécheurs ont comme prises dans leurs filets souvent, des déchets plastiques et des algues vertes ou rouges.
L’odeur des algues qui pourrissent, indispose les riverains et elles consomment l’oxygène dissous, ce qui rend invivable la baie pour beaucoup d’espèces marines. La pollution de la baie est devenue une bombe écologique, une menace sur la santé publique et une cause de paupérisation des riverains.
La problématique de la baie de Hann avait déjà été posée en 2003. Elle a fait l’objet de deux (2) conseils présidentiels et de quatre Conseils interministériels. En sus de la restauration de l’écosystème, le projet va infléchir la courbe des maladies cutanées, des diarrhées, des infections respiratoires aiguës. Aussi, les quartiers situés le long de la baie auront un visage nouveau.
Au total,près de cinq cent mille (500.000) personnes des quartiers de Hann, Thiaroye, Mbao et une partie de Pikine vivront dans un autre cadre de vie, plus attrayant, plus assaini. Pour la première fois de leur histoire, les riverains de la baie auront des branchements à l’égout. Le bien-être des populations est le soubassement de la dépollution.
Le projet va également introduire le principe pollueur payeur pour les industriels, une première en Afrique subsaharienne, ce qui confirme la position de leader du Sénégal dans le domaine de l’assainissement.
Les résistances à la réalisation du projet surmontées, les aspérités dans les discours et incompréhensions dépassées, une mobilisation des partenaires au développementeffective, aucune possibilité de retour en arrière pour entraver un démarrage effectif du projet de dépollution de la baie de Hann, n’est permise.
Évoquer le passé, rappelle une baie de Hann, port naturel aux eaux calmes, claires, poissonneuses avec du sable fin et blanc, sur une plage bordée de cocotiers au Sud de la presqu’ile du Cap-Vert. Elle faisait le bonheur des plaisanciers, des pécheurs et des amateurs de belles plages.
Aujourd’hui, la baie est devenue impropre à la pêche et à la baignade. Chaque année, elle fait partie des plages interdites de baignades par la Direction de la protection civile. Les pécheurs ont comme prises dans leurs filets souvent, des déchets plastiques et des algues vertes ou rouges.
L’odeur des algues qui pourrissent, indispose les riverains et elles consomment l’oxygène dissous, ce qui rend invivable la baie pour beaucoup d’espèces marines. La pollution de la baie est devenue une bombe écologique, une menace sur la santé publique et une cause de paupérisation des riverains.
La problématique de la baie de Hann avait déjà été posée en 2003. Elle a fait l’objet de deux (2) conseils présidentiels et de quatre Conseils interministériels. En sus de la restauration de l’écosystème, le projet va infléchir la courbe des maladies cutanées, des diarrhées, des infections respiratoires aiguës. Aussi, les quartiers situés le long de la baie auront un visage nouveau.
Au total,près de cinq cent mille (500.000) personnes des quartiers de Hann, Thiaroye, Mbao et une partie de Pikine vivront dans un autre cadre de vie, plus attrayant, plus assaini. Pour la première fois de leur histoire, les riverains de la baie auront des branchements à l’égout. Le bien-être des populations est le soubassement de la dépollution.
Le projet va également introduire le principe pollueur payeur pour les industriels, une première en Afrique subsaharienne, ce qui confirme la position de leader du Sénégal dans le domaine de l’assainissement.
Les résistances à la réalisation du projet surmontées, les aspérités dans les discours et incompréhensions dépassées, une mobilisation des partenaires au développementeffective, aucune possibilité de retour en arrière pour entraver un démarrage effectif du projet de dépollution de la baie de Hann, n’est permise.