📉 Une situation financière préoccupante
Le diagnostic est sans appel :
La trésorerie de la FSF est passée de 4,21 milliards en 2023, à 1,8 milliard fin 2024.
Le déficit s’aggrave : –2,4 milliards FCFA en 2024, contre –2,03 milliards en 2023.
Les subventions publiques ont été divisées par deux et les recettes propres restent marginales.
🚨 Risques majeurs dès 2025
Cheikh Tidiane Bâ alerte : à ce rythme, la trésorerie sera négative fin 2025, mettant en péril salaires, primes, compétitions et sélections. Le retrait progressif de l’État du financement du football, combiné à l’inefficacité structurelle actuelle, compromet l’avenir du football amateur et féminin.
🧭 Des candidats avec une vraie vision ou rien
Cheikh Bâ ne milite ni pour l’équipe sortante ni pour ses opposants déclarés. Ce qu’il réclame : des candidats crédibles, compétents et responsables. Il exige :
Des programmes chiffrés, documentés, avec calendrier et indicateurs de résultats.
Une capacité à générer des recettes propres : billetterie digitale, naming, merchandising.
Une transparence totale dans la gestion : comptes publiés, audits, évaluations à mi-mandat.
🚫 Fin des privilèges de réseau
Il dénonce aussi les critères subjectifs : “Il n’est plus acceptable de dire qu’un candidat est légitime, car il a des moyens ou des relations. L’avenir du football se construira dans les actes, pas dans l’entre-soi.”
🎯 Une exigence de gouvernance moderne
Enfin, Cheikh Bâ appelle à une gouvernance alignée avec les standards internationaux, dans une “intelligence stratégique avec l’État, acteur majeur du secteur”. Pour lui, tout ce qui se fait dans l’ombre, sans le peuple, est soupçonné d’agir contre lui.
"Le football sénégalais attend des dirigeants qui savent où ils vont, avec qui et avec quels moyens."
Le diagnostic est sans appel :
La trésorerie de la FSF est passée de 4,21 milliards en 2023, à 1,8 milliard fin 2024.
Le déficit s’aggrave : –2,4 milliards FCFA en 2024, contre –2,03 milliards en 2023.
Les subventions publiques ont été divisées par deux et les recettes propres restent marginales.
🚨 Risques majeurs dès 2025
Cheikh Tidiane Bâ alerte : à ce rythme, la trésorerie sera négative fin 2025, mettant en péril salaires, primes, compétitions et sélections. Le retrait progressif de l’État du financement du football, combiné à l’inefficacité structurelle actuelle, compromet l’avenir du football amateur et féminin.
🧭 Des candidats avec une vraie vision ou rien
Cheikh Bâ ne milite ni pour l’équipe sortante ni pour ses opposants déclarés. Ce qu’il réclame : des candidats crédibles, compétents et responsables. Il exige :
Des programmes chiffrés, documentés, avec calendrier et indicateurs de résultats.
Une capacité à générer des recettes propres : billetterie digitale, naming, merchandising.
Une transparence totale dans la gestion : comptes publiés, audits, évaluations à mi-mandat.
🚫 Fin des privilèges de réseau
Il dénonce aussi les critères subjectifs : “Il n’est plus acceptable de dire qu’un candidat est légitime, car il a des moyens ou des relations. L’avenir du football se construira dans les actes, pas dans l’entre-soi.”
🎯 Une exigence de gouvernance moderne
Enfin, Cheikh Bâ appelle à une gouvernance alignée avec les standards internationaux, dans une “intelligence stratégique avec l’État, acteur majeur du secteur”. Pour lui, tout ce qui se fait dans l’ombre, sans le peuple, est soupçonné d’agir contre lui.
"Le football sénégalais attend des dirigeants qui savent où ils vont, avec qui et avec quels moyens."
